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One Second
Par OneSecond
Originales  -  Action/Aventure/Fantastique  -  fr
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L'Assault

 -- Temple de Pandore, mardi 13 avril, 1h33 --

 

 - Aller, on fonce !

 - Ok go !

 

Les deux hommes s'élancèrent dans le vide. Tout se passa comme prévu : le câble fût assez solide pour servir de Tyrolienne. Quand ils arrivèrent à portée du temple, ils lâchèrent les deux poulies, pour laisser le relai à leurs wingsuits. Tout à coup, ils furent éblouis par une grande lumière provenant du temple. Puis ils entendirent les sirènes retentir.

 

 - Merde ! On est repéré !

 - On est trop proche ! Il faut continuer !

 

Les deux hommes déclenchèrent leurs parapentes et se posèrent sur le toit du temple. Des soldats cagoulés apparurent aussitôt dans la pénombre et firent feu sans sommation.

Le premier des assaillants prit une balle dans la tête, le second en prit une dans la jambe puis deux dans chaque épaule. Il agonisait sur le sol, dans le froid de la nuit. Il perdit connaissance.

.....

 - Une dose d'adrénaline, vite !

Bipbipbip

 - Réanimez-le ! Coûte que coûte !

Bipbipbip

 - On va le perdre !

Bipbipbip

Le malheureux se releva d'un coup, et prit une grande inspiration dans un cri partagé entre douleur et panique, puis il retomba sur son brancard. Petit à petit, il reprenait connaissance. Il ouvrit les yeux, et de vu entouré de ce qui ressemble à des médecins. Parmi les médecins se tenait ce qui semble être un militaire, avec sa veste verte unie.

Dès que le patient ouvrit la bouche pour demander où il était, le militaire écarta les médecins pour le saisir par le col et le tiré vers lui.

 - QUI ES-TS, QUI T'ENVOIE, ET COMBIEN ÉTIEZ-VOUS ?

... Aaaa...

 - REPOND !

 - ... Je ... suis ... personne... On...est...venu...par...nous...même. Nous...sommes...non...étions...deux...

Bip

 - Général, il est mort.

 - C'est bon, laissez-le. Je sais tout ce dont j'ai besoin. Jetez-le dans la fosse.

Le corps inerte de l'homme fut jeté par les médecins dans une sorte de fosse commune en extérieur.

......

Il entrouvrit les yeux, puis remarqua qu'il était en extérieur, dans une sorte de grand creux. Heureusement qu'il avait débranché l'electrode pour mesurer son pou, pensa-t-il. Grâce à cela, il avait pu se faire passer pour mort. Il se releva, et manqua de perdre l'équilibre, avant de remarquer que le sol était couvert de cadavres, enpilés les uns sur les autres. Il devait finir ce pour quoi il avait failli mourir. Mais les soldats l'avaient dépouillé de tout son équipement. Il ne pourrait même pas approcher la boîte sans sa carte et sans arme. Il observa autour de lui, cherchant en éventuelle solution, et remarqua quelques mètres plus loin le corps de son partenaire. Le pauvre n'a pas eut de chance : une balle dans le front, au centre, bien propre et net. Il s'approcha du cadavre et remarqua que les soldats avaient confisqué son arme ainsi que son gilet pare-balles. La poisse, décidément. Mais c'est alors qu'il eut une lueur d'espoir. Il fouilla ses poches et y découvrit la carte du temple. C'était déjà ça. Il se mit ensuite à chercher une sortie et fut étonné de voir une simple échelle, dix mètres plus loin. Il monta l'échelle dans un silence digne des abysses. Une fois a la surface, il remarqua un soldat en patrouille. Il décida de s'en approcher et de le tuer, pour s'en approprier l'identité. Il se cacha dans la fosse, suspendu à l'échelle, et retira sa ceinture. Quand le soldat passa au-dessus de lui, il remonta d'un coup, saisit le col du soldat pour le lancer dans la fosse, tout en prenant soin de passer se ceinture autour du cou du soldat, puis de la faire passer dans le crochet sur lequel l'échelle était attachée. Le pauvre soldat mourut sur le coup : nuque brisée par son propre poids sur la ceinture de cuir. Violent, mais au moins il n'y aura pas de trace de sang suspecte. L'assailant le détacha, le laissa tomber dans la fosse, puis le rejoint. Il déshabilla le soldat et s'équipa comme ce dernier. Il avait désormais une cagoule, une arme, un couteau de chasse, un gilet pare-balles, et surtout, une radio. Il pourra ainsi suivre toutes les informations des autres soldats. Il sortit de la fosse, et, se fiant à sa carte, se rendit au coffre contenant la boîte. La fameuse boite de Pandore. La légende raconte que la personne qui ouvre la boîte devient immortelle. Il lui suffira juste d'ouvrir la boîte, sans se soucier des gardes, car après avoir ouvert la boîte, il serait invincible. La légende indique aussi que la boîte contient tous le malheur du monde, et qu'il ne faut en aucun cas les libérés. Mais ça, il s.en fiche. Tout ce qui importe, c'est le pouvoir, et donc, dans le cas présent, l'immortalité.

Il arriva devant le coffre mais celui-ci était gardé par deux soldats. Il était inutile e mourir avant d'atteindre la boîte. Il décida donc qu'il fallait une diversion. Il fit au plus simple : il tira quatre coups de feu. Comme prévu, les deux gardes arrivèrent.

 

 - UN INTRU ! Cria-t-il, IL M'A TIRE TROIS BALLES, J'AI RIPOSTER ET JE CROIS QUE JE L'AI TOUCHE

 - Bien, je pars à sa recherche, dit le premier garde en commençant à courir, reste ici avec le blessé et garde le coffre.

 - Bien, répondit le second.

 - L'enfoiré, il m'a touché aux épaules et à la jambe : le pisse sang, dit le faux soldat, en prenant bien soin de contracter ses muscles blessés lors de l'assaut, pour que le sang ressorte et ainsi paraître plus crédible.

 - Fait voir, il faut peut-être faire un garrot.

 - Non t'inquiète, c'est bon.

 - Tiens, c'est bizarre : tu saignes, mais ta tenue n'est pas troué­e !

 

Merde. Il n'avait pas pensé à ça. Alors avant que l'autre ne réalise, il sortit son couteau de chasse, et le lui planta dans la tempe, l'empêchant ainsi de hurler de douleur.

Il se releva et s'approcha du coffre puis regarda sa montre. 7h22. Il sortit alors la carte de son camarade, et regarda les notes sur le côté. Entre 6h et 7 h, le code était 9463187. Il s'empressa de taper le code, et ouvris le coffre. Elle était là. Dorée, carrée, magnifique. La boîte de Pandore. Il décida de l'ouvrir immédiatement. Il posa alors les mains sur la boîte, se saisit du couvercle, et l’ouvris. Une lumière d'un bleu aussi royal que brillant envieillit la salle. Il sourit, il se dit qu'enfin il avait revu… BANG… Le couvercle, couvert de sang, se referma. La boîte sera restée ouverte environ une seconde. Le garde était revenu et avait de suite tiré dans la tette du faux soldat qui avait ouvert le coffre. Il écrira par la suite dans son rapport que la boîte fut l’ouverte qu'une seconde à 7: 23: 42 d'après le Timecode de la vidéosurveillance.

 

 

 
 
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