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au 31 Mai 21 :
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Pulp Karaoké
Par camille
Pulp Fiction  -  Humour/Parodie  -  fr
One Shot - Rating : T (13ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 1     2 Reviews     Illustration    
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Salut à tous ! Voilà une (bonne) parodie de Pulp Fiction. J'ai écris ca complètement *biiiip* donc faut pas m'en vouloir [être *biiiip* nuit à la santée mentale] Bah j'ai rien à dire appart que tout est de Tarantino toussa...

Bref, merci à Melissa qui (encore une fois) a un super word correcteur et voilà, elle me dit quand c'est de la merde ou pas (huhu).

Sinon y'a plus qu'à lire... z'êtes pas obligés de connaitre Pulp Fiction pour lire cette histoire hein, mais bon voilà...

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

PULP KARAOKE

La nuit venait à peine de tomber sur la ville. La chaleur printanière, si commune, avait pourtant quelque peut étouffer Vincent Vega, enfermé dans son costume sur mesure. Malheureusement, depuis la conception de ce dernier, Vince avait prit du poids et avait du mal à supporter ces journées un peu trop oppressantes.

Tout avait pourtant bien commencé. Vince avait prit un café dans le petit restaurant ouvert 24h sur 24 en bas de chez lui, où il avait pu faire de l’œil à Bertha, la serveuse en chef. Agée d’à peine cinquante ans, Bertha était aussi fraîche que ses merveilleuses tartes à la rhubarbe, dont elle offrait toujours une ou deux part à son client favori. À vrai dire, Vince était ce que l’on peut appeler un « tombeur ». Ses cheveux noirs jais attachés en queue de cheval telles que celles que chérissent les matadors, des yeux aussi bleu que le ciel californien en plein été, une gueule de mafioso au cœur tendre, une stature imposante, bref, il ne pouvait marcher dans la rue sans que le regard des femmes désireuses et des hommes envieux ne soit attirés par cet être au pouvoir attractif extraordinairement puissant. C’était comme si Aphrodite lui avait bavé dessus en se baissant sur son berceau et à présent, cette bave divine s’était transformée en un halo chimique attirant toutes les chiennes errantes de la ville.

 

Malgré tout, Vince n’était pas un homme à femme. Non, c’était un homme dévoué à son travail, un homme d’affaires qui s’occupait surtout des affaires des autres plutôt que des siennes il est vrai, mais un homme d’affaire tout de même. D’ailleurs, il avait eu un entretien avec son patron, Marsellus Wallace, quelques minutes plus tôt, mais continuons ce résumé de la journée de Vince Vega avant d’aller plus loin. De toute manière, ce résumé nous mènera intrinsèquement à cet entrevu.

 

Donc après ce petit déjeuner fort copieux arrosé des plus beaux sourires de Bertha, Vince parti récupérer un colis chez un couple d’amis. Puis, la faim l’obligea à faire un détour au drive du McDonald’s le plus près, où il pris un menu super size royal bacon avec des frites et un coca light, car Vince était au régime depuis qu’il s’était rendu compte qu’il n’avait pas les moyens pour l’instant de réinvestir dans un nouveau costume sur mesure. C’est à ce moment précis que Marsellus Wallace, le grand et tout puissant Marsellus Wallace appela lui-même Vince, son employé. Ce dernier voulait juste le voir quelques instants vers la fin de l’après-midi.

 

Vince retourna à ses petites affaires, retrouva Marsellus à la période de la journée indiquée, à son domicile. La mission qu’il avait pour lui était simple : Vince devait s’occuper de Maman le soir même et il devrait le faire seul. Pour ceux qui n’ont pas suivi le début de l’histoire, décrite dans les chapitres précédents, il faut rappeler, à cet instant précis de l’intrigue, que Vincent Vega était un homme d’action, mais pas un homme d’action solitaire. Il était ordinairement suivi de son coéquipier, Jules Winnfield. Quarante ans, une coupe afro aussi régulière que la ligne d’horizon séparant l’océan pacifique des cieux, des rouflaquettes à faire pâlir de jalousie John Travolta dans La fièvre du samedi soir, un regard de fou et une foi en Dieu qui guidait chacun de ses pas sur cette Terre qu’il avait apprit à faire sienne, Jules était le coéquipier parfait, du moins, pour Vince.

 

Or, pour une fois, Vince devrait se passer de son ange gardien. Au départ, il avait eu du mal à faire équipe avec Jules, mais les années étaient passées sans embûche et l’un était devenu l’ombre de l’autre. Et puis Vince appréciait cette façon de travailler. Il savait qu’il pourrait faire confiance à Jules car ce dernier avait l’obligation de penser la même chose. Et puis la mort de son frère, Vic Vega, l’avait rassuré sur cette façon de travailler. Mr Blonde était mort car il n’avait pas été entouré de personne qui devait avoir confiance en lui pour survivre. De toute manière, peu de gens, même un colt .45 pointé sur la tempe n’aurait accepté de faire confiance à Vic Vega. A côté de lui, Vince était un de ses petits oursons bruns que l’on voyait dans ces publicités pour de la lessive. Bref, Vince devrait se passer de Jules. Mais la mission n’était prévue que pour ce soir, et il avait encore quelques conseils à demander à Jules. Ils avaient d’ailleurs rendez-vous au Joe’s Bar, non loin de chez Bertha. Comment Vince savait-il que Bertha habitait dans le coin? Eh bien, cela, c’est une autre histoire…

 

Le bar était sombre et presque vide, c’était un de ses bars de quartiers où l’on pouvait parler en toute tranquillité.

- Non mais c'est vrai, c'est la femme de sa vie mec. Tu crois que c'est pour quoi que Marsellus Wallace demande jamais à la même personne de la surveiller cette vilaine bonne femme ? Cracha Jules.

- Parce que ces personnes refusent ? répondit Vincent en plongeant sa main dans un bol de cacahuète. Il n'eut pas le temps d'en mettre dans sa bouche que Jules lui fit relâcher ses proies.

- Non mec !! Enfin si aussi... Mais non, c'est parce qu'il ne veut pas qu'ils puissent en profiter !! Une vieille femme comme ca... c'est sa mère quand même. Ils ne sont jamais ressortit de chez elle tu sais ? Tout ceux qui sont passés avant toi ne sont jamais ressortit.

- C'est vrai ? demanda Vincent soudain un peu plus intéressé.

- Bon, faut dire aussi qu'ils ne sont jamais rentrés... Le boss se débrouillait toujours pour louer un hotel, payer le restau' etc...

- Mais il ne m'a jamais parlé a aucun moment de sa mère. Il l'a appelé Mia et il dit que c'est la femme de sa vie, lâcha Vincent alors que Jules haussa les épaules. Moi, il m'a juste demandé de me rendre à telle adresse, et d'emmener Mia dans un endroit cool pour lui changer les idées.

- Tu verras par toi même mec, mère ou pas mère, ouvre l'œil, elle appartient a Marsellus, dit Jules, au fait c'est ce soir ?

Vince hocha la tête pour simple réponse, il prit alors une cigarette et l'alluma.

- C'est où alors ? Et putain tu vas m'éteindre cette cigarette ? Le patron déteste qu'on fume, surtout si tu vas voir sa femme, t'es con ou quoi ?! Bref, c'est où ?

Vince souffla la fumée de sa cigarette avant de l'écraser sous sa semelle de chaussure en cuire noir.

- C'est à trente minutes d'ici, et t'inquiète, pour mon haleine j'ai tout prévu.

- A bah très bien, t'y es en dix minutes alors !! Et encore heureux car même si cette femme est horrible, pas besoin de la faire mourir tout de suite par ta mauvaise haleine.

Vince, pour toute réponse, lui fit un geste obscène de la main.

 

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

 

Vince gara sa voiture dans une petite allée, située dans un quartier paisible, tout le contraire de ce qu'il a l'habitude de voir. En sortant de la voiture, il se recoiffa d'une main, rajusta son costard qui le moulait étrangement au niveau du bide (cause ? La bière surement) et s'aéra l'haleine avec un pshit à la menthe. Il avança d'un bon pas vers la maison de l'adresse. Une fois devant la porte, il toqua.

-Qui c'est ? Demanda une voix que Vince ne su déterminer : était-ce la voix d'une petite fille ou d'une vieille femme ? Vieille femme qui serait Mia ?

-Oui bonsoir, c'est Vincent Vega, je viens de la part de Marsellus.

-M'maaaaaaaaaaaaaaaan ! Y a un monsieur qui est à la porte...

-Ah... Heu... désolée c'est une erreur, je m'en vais, encore désolée...

Et Vince quitta la limite de cette maison, retourna à sa voiture et ressortit le papier ou était écrit l'adresse de Mia. Il relut : « 131(b) rue de Monfion »

-Merde, mais j'suis bien au 131 !

Vince s'avança alors jusqu'à la maison voisine et lut sur le portail bleu : '133 bis'. Il relut alors le papier et se frappa le front. Il alla alors de l'autre côté de la maison 131 et lut bien '131 bis'

-Ah putain, mais ils sont cons quand même les gens qui pensent à faire des quartiers comme ca...

Il frappa à la porte.

-Vincent le suppose, dit la voix en laissant la porte ouverte, vous êtes en retard.

-Ouais bah ca... heu... bonsoir, se radoucit Vince en pensant à son vilain patron.

-Entrez un moment, buvons un coup et sortons.

Vincent ne dit plus rien, en refermant la porte derrière lui, il ne vit que la fin des jambes de Mia. Il ne l'avait toujours pas vu physiquement parlant. « que de mystère » pensa-t-il , Mais sa voix n'est pas très nette pour le moment... »

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Vince sortit de sa voiture en vitesse pour aller ouvrir la porte de Mia. Une Mia qu'il ne pouvait décrire. C'était un mélange de beauté et d'interdit. C'était la première fois que Vince avait envie de se faire une fille à ce point, mais c'était aussi la première fois qu'il risquerait sa vie pour arriver à ce but, surtout pour une fille qu'il venait juste de rencontrer.

-Bon tu la donnes cette clef au portier oui ou merde ? S'impatienta Mia.

Vince ne répondit même pas. Il fit son plus beau sourire, celui qui lui avait valut une double raton de pudding chez Bertha, et tendit son bras vers Mia pour que cette dernière lui prenne.

-Où m'emmenez-vous cher gentleman ? Demanda Mia les pupilles déjà bien dilatée.

-La karaoké tu connais ? Tu verras tu vas adorer, tu dois choisir un morceau et...

-Le chanter! J'sais, j'suis déjà sortit de chez moi tu sais... d'ailleurs j'me demande ce que Marsellus te trouve pour qu'il t'envoie. D'habitude j'ai tout ce qu'il y a de mieux, dit Mia titubante à l'entrée du karaoké.

-Sympa... murmura Vincent, peut-être parce que je SUIS ce qu'il y a de mieux, annonça clairement et hautement Vincent, en bombant le torse et en rajustant son col de costume trop serré.

-Ecrase... pas besoin de faire du lèche cul, pas à moi. Allez, va me chercher un milk-shake vanille à sept dollars.

-Sept dollars le milk shake? Mais ils mettent quoi dedans ? Du lait de mammouth en voie de disparition ou quoi ?

-Ne discutez pas, n'oubliez pas Marsellus...

Vince alla s'accouder au bar avec sa démarche à la Roger Moore dans James Bond. Il commanda deux milk-shakes vanille à sept dollars chacun.

-P'tain vous vous faites pas chier avec les prix ici, lança Vince.

-Ouais, mais aujourd'hui c'est vendredi, et le vendredi c'est encore plus cher. Vous êtes avec cette femme là-bas? S'intéressa le barman.

-Ah elle... en effet, j'suis chargée de la sortir ce soir, répondit Vincent.

-Vous devriez vous méfier, dit le barman en lui donnant ses milk-shakes, cette femme là vient toutes les semaines, tous les vendredis avec un mec différent depuis au moins six mois!

-Ah ?! Et que fait-elle avec ses hommes ?!

-Honnêtement je n'en ai aucune idée... j'sais juste qu'elle s'enferme bien quinze minutes dans les toilettes pour femme et que l'homme l'attend. Généralement, ils ne participent même pas au karaoké, ne discutent presque pas et s'en vont. Je ne m'avance pas, mais je soupçonne un adultère.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Vincent était étalé sur une banquette, savourant goutte par goutte son milk-shake à sept dollars qui, soit-dit en passant, avait le goût de médicaments pour le mal de gorge... Mia, en face, buvait le sien a grosse gorgée, sortant de sa main libre son paquet de clope, son briquet et un porte cigarette à la Cruela d'enfer.

-Pourquoi tu ne m'as pas dis que t'étais déjà venu ici? Demanda Vince au bout d'un moment.

Mia posa son verre brusquement sur la table et tira une grosse taffe sur sa clope. La fumée encore dans la bouche, elle fit signe a Vincent de s'approcher d'elle. Lorsqu'ils ne se retrouvèrent plus qu'a quelques centimètres, elle dit alors:

-Tout simplement parce que tu aurais voulu m'emmener ailleurs et que j'aime cet endroit, dit-elle en crachant toute sa fumée sur la gueule de Vincent, ce dernier toussa et se renfonça le cul sur la banquette, dégouté.

-Mais, ni tu participes au karaoké, ni tu te bourres la gueule!? Alors à quoi ca sert que tu viennes là ?

Mia semblait réfléchir... ou alors elle ne comprenait simplement pas la question, mais c'était compréhensif, avec l'effet de la drogue sur son cerveau, même Hagrid ne tiendrait plus debout et Merlin sait à quel point il est résistant.

-Beuh... J'aime leur milk-shake! N'est-ce pas suffisant? J'te demande moi pourquoi tu vas cher Bertha dès que t'as un moment de libre? Répliqua-t-elle en se mettant un doigt dans la bouche comme pour se faire vomir.

Vincent ne dit plus rien jusqu'à ce qu'une chanson soit annoncé par le DJ: 'Girl, you'll be a woman soon'. Mia se releva (avec difficulté) et regarda Vincent qui la dévisageait.

-Bah quoi ? S'inquiéta ce dernier, j'ai quelque chose sur mon visage c'est ca? Vince se frotta le visage pendant que Mia rigolait, toute seule, comme une hystérique. Après quelques secondes, elle se reprit.

-Je veux chanter sur cette chanson! Va demander au DJ de virer ses deux pouilleuses là – elle montre les deux filles qui étaient sur la scène du doigt – et moi j'vais chanter.

-Non mais tu sais chanter ?

-Qu'est-ce que ca peu te foutre merde! Tu fais ce que je te dis et c'est tout. Et puis d'abord, c'est pas toi qui auras la honte t'sais...

Vincent se leva, ne répondit pas mais n'en pensait pas moins :'saaaaale co-nasse'. Il se dirigea vers le DJ et lui murmura quelque chose. Ce dernier fit non de la tête, alors Vince dû ruser.

-Bon écoute mec, tu vois la bête de sex là bas ? C'est simple, j'veux me la faire ce soir, alors soi cool et aide moi à me la mettre dans la poche !

Le DJ refusait toujours.

-Tu veux que je te paye c'est ca ? Comment ca j'dois attendre que ces deux gamines finissent ? Ah nan mais ca va pas se passer comme ca mec.

Vincent se recula, ouvrit sa veste, en profita pour respirer un grand bol d'air et sortit un flingue qu'il pointa sur le DJ et sortit le deuxième qu'il pointa sur un peu tout le monde.

-Ok les gens, tout le monde se calme, ceci n'est pas un hold-up et ce n'est pas non plus pour se marrer alors voilà – il se tu un instant et demanda à Mia de venir la rejoindre, ce qu'elle fit immédiatement – Cette jeune femme, reprit-il, voudrait simplement chanter sur la chanson de mon pote Urge Overkill, serait-il possible que vous l'écoutiez ? Dit très clairement et calmement Vincent.

Le karaoké c'était tu. La chine entière passa. Seul les grattements d'une cafard sur une table s'entendait, mais un enfant l'écrasa dans sa mail et le mangea.

-Bien... c'est ce que je pensais, alors voici Mia... Et elle vous chantera :'Girl, you'll be a woman soon', applaudissez là bien fort – Vince dirigea ses deux flingues sur le DJ – musique maestro !

Et la musique envahit le karaoké, Vincent retourna s'assoir à leur table et écouta Mia... 'Affreux' pensa-t-il.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Vincent ouvrit la porte de sa voiture pour aider Mia a y entrer. Installés, il démarra en trombe, capote ouvert et cheveux dans le vent, Mia riait qu'elle en pouvait plus. Le trajet jusqu'à chez Mia se déroula sans inconvénient. Sauf si l'on omet de dire que Mia avala 12 moucherons, vomit par dessus la portière et dit n'importe quoi durant le trajet. Vince était content, heureusement, elle n'avait pas vomit sur ses beaux fauteuils en cuir marrant.

Vince la raccompagna jusqu'à sa porte.

-Hé Vince, réussit à dire Mia.

-Oui ? Se retourna l'homme du même nom, il s'attendait à ce qu'elle l'invite à rentrer, histoire de finir la soirée mais non.

-J'peux te dire une blague?

-Si elle fait rire.

-C'est pas une blague qui fait rire, mais si tu veux l'entendre je te la dis.

-J'suis impatient.

-Trois tomates se baladent dans la rue, papa tomate, maman tomate et bébé tomate. Bébé tomate traine, regarde les belles nanas, papa tomate se fâche, lui balance une claque et lui dit : 'qu'est-ce que t'as ? T'es tout rouge'.

-Hum, hum, lâcha Vincent avec un sourire.

-T'es tout rouge, répéta Mia, à moitié dans le vague. A un de ces quatre !

Mia rentra chez elle. Vincent resta une minute devant sa porte, porta sa main a ses lèvres, l'embrassa (sa main) et envoya le baiser en direction de là ou était Mia une minute plus tôt.



FIN (enfin pour la suite, il faut voir Pulp Fiction)

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Aussi j'voulais dire, pour j'voulais mettra la scène de l'overdose (pour ceux qui connaissent) mais comme elle allait être pareille que celle du film, j'me suis dis que ca servait à rien...

Voilà ! Et pour la morale de l'histoire : ne pas sortir la femme de son patron, on ne peut pas s'la faire !! hihihi

 
     
     
 
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