J'hésite un peu à communiquer ici tellement j'ai honte du temps qu'il m'a fallut pour poster un nouveau chapitre. Je ne sais pas si j'ai encore des lecteurs avec des délais pareils mais je comprendrai qu'on veuille me lapider ne place publique. Tiens je me jetterai même la première pierre...

Efin comme circonstance atténuante je voudrais dire que mes études bien que pas toujours intéressante sont quand même hyper prenantes et que dernièrement j'ai non seulement arrêter d'écrire mais aussi de lire des fics. Donc j'espère qu'avec ce chapitre je signe un retour un peu plus constant au monde de manyfic.

voilà j'ai fini nde blablater je vous laisse profiter. J'espère que ça vous plaira.

Bonne lecture.

Chapitre 10 : Découvrir un nouveau visage.

Potter me regarde avec un air satisfait. Il s’approche lentement de moi et m’attrape le menton entre deux doigts.

« Draco Malfoy c’est un plaisir de t’accueillir chez moi. La chambre est ta ton goût ?

-Je… ce n’est… tu… suis-je seulement capable de bredouiller sous le choc de la découverte.

-Oh comme c’est mignon tu es tout impressionné par moi. Ne t’en fais pas tu es loin d’être le premier. »

Je regarde le brun d’un air hagard, mes yeux probablement assez écarquillés pour faire exploser mes globes oculaires. Malgré tous mes efforts je n’arrive pas à réfléchir. Mon cerveau n’est rien d’autre qu’un grand blanc où les rouages tournent en vain dans le vide.

Harry s’avance et s’accroupit pour se placer à mon niveau. Il est évident au mouvement de ses lèvres qu’il est en train de parler mais mes oreilles refusent de fonctionner et aucun son ne me parvient.

Mes sens reprennent soudain du service quand il attrape mon menton avec délicatesse et fait lentement tourner ma tête de gauche à droite puis de haut en bas en observant mon visage avec attention.

« Qui est-ce qui l’a amené ? demande-t-il avec une certaine tension dans la voix.

-Greyback et Parkinson Lord. Ils attendent dans le salon bleu.

-Fais les venir ici. ordonne le Lord sans me quitter des yeux.

Tandis que Pettigrew quitte la pièce Potter se relève lentement et signifie d’un signe de la main à ses deux gorilles de me remettre sur pieds et de s’écarter. Je chancèle un peu mais tiens bon, m’efforçant également de garder la tête haute.

« Tu devrais t’asseoir Malfoy, tu as l’air encore plus pâle que d’habitude. »

Je ne réponds pas, je ne suis pas sûr de pouvoir compter sur ma voix, mais je reste debout bien droit avec ce que je souhaite être un air de défit.

Harry sourit moqueusement et sans me laisser le temps de réagir s’approche de moi, m’attrape par la taille et me plaque contre son torse. Il entame ensuite une rotation rapide, m’entraînant dans son mouvement. Je nous sens basculer et mes jambes fléchissent avant que j’atterrisse en douceur sur la surface confortable du lit. Je place mes bras en arrière pour stabiliser ma position. Potter se tient debout un peu courbé son à seulement quelques centimètres du mien, une de ses mains toujours dans mon dos et l’autre plaquée sur le matelas à côté de ma cuisse droite.

Il se redresse avec une lenteur calculée caressant ma joue au passage, arborant toujours son satané sourire

« Je ne voudrait pas que tu t’évanouisses quand la suite des évènements promet d’être si intéressante. 

-… »

A-t-il seulement conscience que ses actes m’amènent bien plus près de l’évanouissement que mon probable épuisement physique ?

Si la capacité à parler semble m’avoir déserté pour quelques temps mon bon sens quant à lui est bien présent et il me fait savoir que la position couché n’est franchement pas la meilleure dans ma situation. Cela requiert néanmoins beaucoup plus de force que je ne l’aurais de simplement se redresser en position assise. Par la force de la volonté j’y arrive tout de même juste à temps pour voir entrer mes ravisseurs dans la pièce.

Tous deux s’avancent bien droits en direction de Potter et, arrivés à un mètre de lui, s’inclinent profondément, le poing droit sur le cœur, le bras gauche dans le dos.

« My Lord ! » énoncent-ils d’une même voix.

Le brun les observe un instant laissant un silence inquiétant s’installer dans la pièce. Soudain, il gifle Parkinson avec une telle vitesse et une telle force que ce dernier en tombe au sol.

« Je suis mécontent Parkinson. Tu ne m’as pas bien servi. Déclare le Lord d’une voix qui pousserait quiconque à s’enterrer le plus profondément possible.

- Mais my Lord, je… Je vous ai amené Malfoy, c’est ce que vous désiriez. Se défend le mangemort en se redressant et en se replaçant au côté de Greyback.

- C’est exacte mais j’avais aussi demandé expressément à ce qu’il me parvienne sans aucun dommage. Je le veux en parfait état. Or non seulement est-il en état de choc, ce qui n’est pas parfait, mais en plus vous avez abîmé son visage. J’y plus de bleu et de violet que de son blanc habituel. Je n’aime pas que l’on outrepassa mes ordres. »

Potter n’élève pas une fois la voix pendant qu’il parle mais ce calme à toute épreuve est réellement terrifiant. A la tête que tire Parkinson je ne suis pas le seul à le penser.

-My Lord, je n’ai pas eu le choix. Lui et son ami avaient blessé Greyback, ils allaient nous échapper.

-Oh ils avaient blessé ton petit camarade ? Harry feint-il de compatir. Tu veux dire que deux de mes hommes ne sont pas capables de gérer la situation face à deux adolescents ? Êtes-vous donc faibles à ce point ? Dois-je prendre les mesures qui s’imposent pour votre incompétence. Tu ne dis rien. Tu ne sais même pas répondre à une simple question ? Et toi Greyback, qu’en penses-tu ? »

Tout en prononçant ces mots, il s’avance vers le second mangemort et, sans prévenir, son épaule démise d’une poigne de fer et la tord presque d’un simple mouvement su poignet faisant ainsi hurler l’homme. Un hurlement que la douleur rend presque animal et qui me glace le sang.

Je regarde cette scène avec la sensation d’avoir marché dans un cauchemar. La cruauté que l’on peut lire sur le visage de Harry est presque douloureuse. Je n’arrive pas à croire que ce soit vraiment lui. C’est comme si un autre être humain, au physique parfaitement identique, se tenait dans cette chambre devant moi. Est-ce que c’est ça qu’il cachait derrière son masque ? Ou est-ce qu’il s’agit encore d’un autre cachant une vérité plus profonde ?

Greyback a fini par s’effondrer sous la douleur et respire maintenant bruyamment sur le planché.

Parkinson semble perdu quelques instants, partagé entre la peur, le respect et la révolte. Très vite pourtant, il se reprend et s’incline à nouveau mais cette fois à genoux, le visage si bas qu’il pourrait baiser le sol… ou plus exactement les chaussures parfaitement cirées de l’homme qui le domine de toute sa hauteur. Greyback également prend la position bien que toujours légèrement haletant.

« Veuillez nous pardonner my Lord. Nous ne faillirons plus à vous satisfaire.

-Espérez-le je ne suis pas toujours si cléments face à l’incompétence et la désobéissance. Maintenant disparaissez de ma vue mais ne quittez pas la maison, rien ne garantit que je n’ai pas à me débarrasser d’un paquet encombrant. » déclare le brun avec un regard appuyé dans ma direction.

Les deux homme ne se le font pas dire deux fois et décampent presque en courant… non sans nombre de courbettes au passage. A mon grand étonnement les deux gorilles leur emboîtent le pas, nous laissant seuls dans la chambre, le Lord et moi.

« Enfin seuls ! s’exclame  joyeusement ce dernier. Comment te sens-tu Malfoy ?

-Etonnamment bien pour quelqu’un qui vient de se faire livrer au plus grand criminel d’Angleterre qui se trouve en fait être un de ses camarades de classe. Je vais probablement finir en paquet encombrant dont il faut disposer mais Eh ! Au moins pour l’instant tu me veux en bon état.

-Tes capacités intellectuelles semblent être intactes. Du moins en assez bonne état pour suivre une conversation.

-Ouais… Je parierais pas dessus si j’étais toi. »

Malgré ce que j’en dis, j’ai recouvré mon calme et mes neurones semblent d’accord pour reprendre du service, ce dont je suis infiniment reconnaissant. Sans tous ces mùangemorts autour de lui, j’arrive plus ou moins à faire abstraction de la véritable identité de Potter et à parler normalement.

« Vois-tu Malfoy, c’est maintenant que les choses vont devenir intéressantes. J’ai de grands projets pour toi.

-Comme m’exécuter lentement et cruellement pour me faire regretter d’avoir mis mon père à l’ombre et ensuite se débarrasser de mon corps en le jetant dans la Tamise ? Je suis pas sûr d’être très partant pour tout ça.

-Tu as raison, ce serait dommage d’en arriver à de telles extrémités.

-Mais me laisser partir alors que je témoigne contre un de tes hommes les plus importants dans quelques jours n’est pas non plus une option je suppose ?

-Et si je te disais que je peux faire en sorte que ce procès n’ait pas lieu ? Que ton père reste en prison et pour de bon ?

-Je te demanderais où est le piège.

-Pas un piège, une contrepartie.

-C’est la même chose. Quoique ce soit je refuse. Je ne veux même pas l’entendre.

-Ne sois pas si expéditif. De toute façon ce n’est pas comme si tu avais trop le choix, tu vas entendre ce que j’ai à dire.

-…

-Bien. Je pense que tu as hérité de toute les qualités qui faisaient de ton père un homme à part parmi les mangemorts. Tu es intelligent, tu sais garder ton sang-froid dans une situation périlleuse et tu as la faculté de séduire ton entourage avec facilité. Bien sûr tu es un peu impulsif mais ça n’est pas toujours une mauvaise chose et au pire ça se corrige. Et puis tu as quelque chose en plus : tu as un don pour l’informatique, ce qui est indispensable de nos jours.

-Où tu veux en venir Potter ?

-Je t’offre un travail : la place de ton père dans le gang Voldemort.

-Tu veux que je devienne un mangemort ? je demande avec tout le mépris et le dégoût que je suis capable d’exprimer.

-Pas vraiment, je te propose bien plus que ça. Je ne t’en dirai pas plus tant que tu n’auras pas accepter mais je peux t’assurer que ta position est digne d’un prince.

-Qu’est-ce qui te fait croire que j’accepterais ça ?

-Je sais que tu ne veux pas mourir. Tes options ne sont pas si nombreuses en fait. Tu peux servir ou mourir. »

Tout en parlant, il se rapproche de moi, son regard rivé au mien. Il ne s’arrête que lorsqu’il se retrouve littéralement nez-à-nez avec moi.

Tout doucement, avec une délicatesse et une lenteur insoutenable, il replace une mèche de cheveux derrière mon oreille (tient j’ai perdu mon bonnet quelque part) caressant au passage ma joue de sa paume. Suivant la mouvement de sa main, sa tête se dirige vers mon oreille et je sens ses lèvres frôler mon lobe quand il murmure :

« Alors qu’est-ce que ce sera ? »

Euh… Et ils sont passés où mes neurones là ? J’ai presque gémit bordel et je saurais pas dire exactement de quoi

Je ne sais pas tellement si c’est dû à la charge érotique de ses gestes, au danger de ma situation ou à la réutilisation de mes propres mots mais ma déglutition est très difficile.

Harry s’écarte avec un sourire à la fois moqueur et enjôleur, apparemment la situation est super sympas de son point de vue.

Je comprends à son regard appuyé qu’il attend une réponse. Le problème c’est que je n’ai aucune idée de ce que je pourrais bien dire. Les deux options me révulsent et j’ai beau essayé je ne trouve pas de parade. De plus je tiens à préciser qu’un certain brun au corps de rêve est toujours à seulement quelques centimètres de mon visage m’hypnotisant de son regard d’émeraude et que ça aide pas vraiment pour se concentrer.

Soudain, le brun en question se recule, tendant l’oreille, comme aux aguets. Il reste comme ça plusieurs secondes avant d’éclater de rire.

« Crabbe ! Goyle ! appelle-t-il avant de revenir vers moi. Mon cher Malfoy il semblerait qu’une nouvelle option s’offre à toi. Cependant ne crois pas que cela te dispense de me donner une réponse. Je te laisse deux jours pour réfléchir. Si je n’ai pas de nouvelles d’ici là je considérerais que tu as choisi la mort et je peux t’assurer que tu la trouveras avant le troisième jour. A bientôt Draco Malfoy. »

Comme si tout avait été minutieusement synchronisé, Harry n’a pas plus tôt fini de parler que les grandes fenêtres de la chambre explosent envoyant des débris de verre partout dans la pièce. Les deux gorilles arrivent juste à temps pour protéger leur maître de ces projectiles tranchants. Moi je n’ai pas cette chance et j’ai tout juste le temps de lever les bras pour protéger mon visage, récoltant ainsi de vilaines blessures.

Quand je relève les yeux les trois hommes ont disparu mais je suis loin d’être seul. Une dizaine d’agents en tenue d’intervention a investi la chambre. L’un deux se précipite sur moi et m’enfile d’autorité un gilet pare-balle avant de m’entraîner à sa suite.

Nous passons par l’une des fenêtres tandis tandis que le reste du groupe inspecte la chambre puis se part à la découverte de la maison. Mon protecteur et moi nous précipitons sur un immense balcon à la rambarde duquel sont attachées de nombreuses cordes. Nous en choisissont deux et nous laissons glisser dans le vide jusqu’au jardin. Là nous nous mettons à courir sur la pelouse vers ce que je devine être la sortie.

J’entends vaguement des détonations dans mon dos mais aucune ne nous est destinée, tout se passe dans la maison.

Après une course effrénée, je passe un portail derrière lequel sont garés deux fourgons noirs. Une femme ouvre les portières arrières du plus proche juste à temps pour que je m’y engouffre sans perdre mon élan, l’agent me suis de près et referme les portes derrière lui.

Désormais en sécurité, nous nous laissons choir sur les bancs métalliques intégrés à l’habitacle. Mon souffle est court et mon corps tremble de toutes parts, raide et nerveux. C’est seulement maintenant que je me rends compte que j’ai mal partout.

Le femme qui nous a fait entrer s’active devant un écran où elle suit le déroulement des opérations, grâce à un casque, elle transmet de temps à autre des indications à différentes équipes.

Elle porte une tenue civile avec un brassard au sigle inconnu au bras gauche. Elle a de longs cheveux blonds qui tombent en cascade sur ses épaules et dans son dos. Son visage montre une intense concentration qui ne parvient cependant pas à altérer la beauté de ses traits.

Mon protecteur quant à lui, a enlevé son casque et m’observe en silence, ses yeux bleu profond brillants de mécontentement. Outre ce regard plein de reproches, il semble avoir une quarantaine d’années. Son visage est fatigué et porte une barbe de trois jours. Ses cheveux d’un noir de geais sont attachés au niveau de la nuque et un peu ébouriffés du fait du casque.

La jeune femme communique une dernière directive avant de se tourner vers nous.

« Ok, c’est bon pour moi on peut rentrer. Tu prends le volant beau brun pendant que je m’occupe de notre jeune ami. Direction la base 3, on est attendus.

-Bien. »

Avec un dernier regard noir dans ma direction l’agent s’exécute.

La blonde s’installe en face de moi, m’observe un instant, puis se penche en avant pour récupérer une grosse boîte en fer sous son banc. Toujours sans un mot pour moi, elle en sort plusieurs compresses, un flacon de désinfectant et du sparadrap.

« Aller viens là blondinet, je vais m’occuper de tes coupures. Je voudrais pas que tu nous fasses une infection par-dessus le marché. »

Je m’installe à côté d’elle et lui tends mes membres douloureux. Elle verse une belle quantité de produit sur une gaze qu’elle applique ensuite sans douceur sur mon bras droit. Le produit pique et je pousse un grognement de protestation.

« Quoi ça fait mal ?

-Un peu quand même.

-Tu survivras. Tu as de la chance, les coupures peu profondes et propres.

-Ravi de l’apprendre. Je voudrais savoir…

-Je m’appelle Fleur et lui c’est Sirius, on fait partie du groupe d’intervention chargé de te trouver et de te ramener. On te conduit en lieu sûr.

-Ok. Mais ce que je voulais savoir c’est si Blaise va bien. Il a pris une balle et je ne sais pas si il est mort ou vivant.

-Je ne sais pas. La source de l’appel de Parkinson a été tracée et nous avons envoyé une ambulance sur place mais je n’ai pas encore eu de nouvelles. Tu étais la priorité.

-Vous pourriez vous renseigner ? C’est important.

-Non. Nous sommes encore en territoires mangemort et je ne tiens pas à ce qu’ils repèrent un coup de fil au central. Prends ton mal en patience… Maintenant je te conseille de te reposer, tu auras besoin de force pour la suite.

-La suite ? Vous ne me ramenez pas à Poudlard ?

-Si mais avant on fait un petit détour. Non tu ne peux pas savoir où. Installe-toi confortablement il nous reste encore pas mal de route. »

Sur ces mots elle rejoint son partenaire à l’avant et cale son regartd sur la route devant elle.

Pendant toute la durée du trajet, je remercie le ciel d’avoir été inconscient à l’aller, ma santé mentale n’aurait pas survécu à un si long voyage enfermé dans un coffre. Je ne suis pas claustrophobe mais y a des limites à ce que je peux endurer.

Après deux bonnes heures de route, Sirius gare finalement le fourgon derrière ce qui semble être une laverie automatique 24h/24.

Nous descendons tous les trois et entrons dans l’édifice. A première vue il n’y a rien de spécial ici : carrelage blanc, éclairage au néon, machines à laver alignées sur le mur, quelques sèche-linges dans un coin et un distributeur de lessive en poudre. A cette heure de la nuit il n’y a pas âme qui vive. Je me doute bien que nous ne sommes pas là juste pour remédier à l’odeur de transpiration qui imprègne mes vêtements et ceux de l’agent brun et j’attends avec appréhension ce qui va bien pouvoir arriver.

C’est donc moyennement surpris que je vois Fleur ouvrir le hublot d’une machine hors-service et actionné je ne sais quel mécanisme caché. Je le suis un peu plus par contre quand je vois s’ouvrir dans le mur du fond ce qui semble être les portes d’un ascenseur habilement dissimulé par les pancartes des tarifs et un grand panneau publicitaire.

Les deux agents me poussent à l’intérieur sans me demander mon avis. Les portes se referment derrière nous. De part et d’autre de l’entrée il y a un écran tactile sur lequel est représenté un clavier numérique. Fleur et Sirius y tapent chacun un code avant d’appliquer leur main sur l’écran. L’appareil s’ébranle. Je nous sens descendre pendant ce qui me semble être une éternité.

L’ascenseur se stabilise enfin et les porte s’ouvrent. Cette fois je dois admettre que je suis carrément bouche bée. Vous avez déjà vu un film d’espionnage avec une super agence à la pointe de la technologie et active comme une fourmilière de jour comme de nuit ? Eh bien c’est ce que j’ai sous les yeux. Il y a tellement de choses à voir que je ne sais où donner de la tête. Des téléphones sonnent, des doigts s’activent sur des claviers d’ordinateurs, des hommes et des femmes courent de bureaux et bureaux, des écrans géants sont disséminés un peu partout et les locaux s’étendent à perte de vue.

Et tout ça sous une laverie…

C’est alors que je vois venir vers moi le professeur Dumbledore, suivi de Lupin. Mais qu’est-ce qu’ils font là ? Et d’abord c’est quoi là ?

« Draco Malfoy, m’interpelle le directeur, bienvenu à l’ordre du Phénix. »

A suivre...

Alors est-ce que je dois envisager de me donner la mort parce que ce chapitre ne valait pas une telle attente? Ou alors est-ce que je dois me mettre à rédiger la suite?

J'espère que je n'ai pas perdu le peu de fidèles qu'il me restait. Encore très désolée pour ma rapidité d'escargot tétraplégique.

A bientôt (peut-être...) pour de nouvelles aventures!!!!