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au 31 Mai 21 :
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Au-delà de toute limite
Par Tak-chan
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
6 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 5     Les chapitres     12 Reviews    
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Comment se damner avec application

 

Comme d'habitude, les personnages ne m'appartiennent pas, et homophobes, s'abstenir !

Voila, je crois que vous pouvez y aller = ) 

 

Chapitre 5 : Comment se damner avec application

 

 Une chaleur sans nom inondait son corps. Rien n’avait réussi à le réchauffer. Ni l’eau brûlante sur sa peau tendue, ni la litanie qu’il murmurait devant lui, essayant de se convaincre lui-même qu’il n’était pas triste, qu’il n’avait pas envie de pleurer.

Qu’il n’avait pas envie de Potter. Qu’il ne l’aimait pas. Pourquoi tout était toujours aussi compliqué ?

Merlin. Il pensait avoir dépassé ce stade…. Et bien non. Il n’y parviendrait sans doute jamais. Il passerait sa vie à se demander pourquoi il aimait Harry Potter. Pourquoi lui hein ? Pourquoi pas …  

Aucun nom ne lui vint à l’esprit. « Quel imbécile je fais ! » jura-t-il.

Balivernes. Il savait pourquoi. Ses lèvres. Son torse. Ses baisers qui enflammaient son bas-ventre et faisaient se dresser sa partie intime. Il lui suffisait d’un mot. Merlin !

Il avait bandé en Potions. Il était devenu dur, à cause de quelques mots. A cause de la présence de Potter. Il avait suffi de ça. Une main effleurant la sienne.

Une main ? Pa-thé-ti-que ! Certes, mais cette main, c’était celle de Potter. Bon, d’accord, cela n’excusait en rien le fait qu’il soit pathétique, mais c’était quand même celle de Potter.

Le Potter froid et insultant sur lequel il s’empalait si souvent… Le Potter qui ne l’avait jamais embrassé. Qui n’avait jamais enroulé sa langue autour de la sienne, ni sucé ses lèvres. Qui ne lui avait jamais caressé les cheveux.

Et cet effleurement, si subtil ait-il été, avait fait surgir toutes ces images, des images plus que débauchées, dont il n’avait pas su se défaire…

Harry qui le prenait contre un mur. Harry qui se frottait contre lui et s’agrippait à son divin postérieur pour ne pas chavirer. Potter qui s’enfonçait en lui, encore et encore, de plus en plus rapidement et violemment. 

Et voila qu’hier soir, il avait eu tout ça. Tout ce dont il avait rêvé pendant si longtemps. Tous ces espoirs qui s’étaient vus détruits tant de fois. Hier soir, il avait baisé Potter. Il avait été actif, dans tous les sens du terme. Il avait joui Merlin sait combien de fois. Il s’était frotté contre Potter.

Il lui avait mordillé ses lèvres. Potter avait ouvert la bouche, lui laissant entrer sa langue et l’enrouler autour de la sienne. Merlin.

Il était incorrigible. Et après tout ça, même si Potter avait oublié, lui ne pouvait pas. Il ne pourrait plus jamais lui faire face. 

 

Alors il s’effondra.

Saisi d’un froid incurable qui faisait trembler tout son corps. Et alors qu’il luttait contre les larmes, tentant de préserver le peu de fierté qu’il lui restait, il laissa ses doigts tracer ce qu’il avait tant cherché à dénier, à repousser, à éviter, sur les parois déjà embuées de la cabine de douche. Ces quelques mots, et qui pourtant voulaient tant dire.

Comment était-il seulement possible de tenir à quelqu’un à ce point ? Merde. Potter.

Y avait-il un fond à ce gouffre sans fin ?

« Fais chier ! » lâcha Draco à nouveau dans un cri désespéré. « Quel petite pute… sa tante ! »

Potter. Potter. Potter. Pourquoi diable fallait-il qu’il l’aime autant ? Misère et damnation. Il avait goûté au Paradis et le retour sur Terre avait été brutal, pire qu’un phallus écrasé sur le sol, et pourtant déjà la, tu meurs.

Ouais, pire que de trembler et de chialer comme une fille dans un bac de douche. Pire que d’écrire des mots d’amour sur une cabine de douche. Baiser Potter avait été tellement… plus bandant.  

Et malgré lui, il sentit ses larmes salées se mêler aux gouttes d’eau brûlantes qui coulaient sur son corps. Lui qui ne voulait pas pleurer pour des mots, il pouvait être fier de lui. Mais plus que ces mots, le silence l’avait effrayé. Le silence, et sa présence. Sa putain de présence, à poil, dans son lit a lui.

Merde. Hier soir quoi. 

Et tout d’un coup, il ne sentit plus le froid. Ses pensées furent repoussées dans un coin de sa conscience, bannies du moment présent.

Potter le serrait dans ses bras. Il aurait voulu crier, lui dire de dégager, de se casser vite fait bien fait. Il ne voulait pas être vu ainsi.

Draco Malfoy devait être fort. Il ne devait pas pleurer. Il ne devait pas aimer…Merlin, qu’était-il devenu ? Pourquoi pourquoi pourquoi ? Il aurait voulu le taper. Une fois de plus. L’insulter. Et puis le prendre aussi, mais ça, il était trop fier pour l’admettre. Enfin quoique, niveau fierté, il était déjà tombé assez bas… Alors, un peu plus, un peu moins … Draco ta gueule. Mais que lui arrivait-il donc ? Depuis quand ne savait-il plus résister ? Depuis quand son cœur battait-il aussi vite ? Depuis quand pleurait-il encore plus ? Depuis quand s’était-il laissé aller contre le torse de Harry ?

Il avait voulu… Potter. Et Potter était là. Mais pourquoi au juste ? Que faisait-il là, dans son bac de douche à lui ? Et dans ses bras ? Enfin, l’inverse. Potter l’enlaçait. Il lui caressait les cheveux. Merde. Qu’est-ce qu’il avait bien pu boire ?

Merlin, faites qu’il soit conscient de ses actes. Pitié. Faites qu’il se souvienne. 

 

Et puis, sa voix retentit.Un murmure tout d’abord, puis, sentant que les pleurs de Draco se calmaient un tant soit peu, Potter gagna de l’assurance et sa voix prit de la puissance.

Il avait une belle voix, un peu rauque, profonde… Ca ne l’étonnait même pas qu’il chante bien, il était parfait de toute façons. Il savait tout faire. Il était beau et sexy. Il savait faire des pipes magnifiques aussi, accessoirement… Mon cul Draco, tu rêves de ça même la nuit…

Il savait embrasser comme un Dieu. Il savait embraser le bas-ventre de Draco. Et tellement plus… Il l’avait détesté. Il l’aimait. 

 « Envie de rien.

Fermer les yeux.

Ne plus rien voir

Ne plus rien sentir

Envie de vide

Flotter dans l’infini

Envie d’un oiseau

Parce que je n’ai pas d’ailes pour voler

Fermer les yeux

Te voir en m’éveillant

Avoir une certitude

Un chemin que je pourrais suivre

Seul dans la foule

Seul dans ce vide immense

Je me sens glisser

Le long de ce puit sans fond

Le long de ces parois lisses

Entendre les gouttes tomber

Et résonner

Dans la profondeur de l’abîme

Dans le silence éternel

Tomber encore et toujours

Où trouverais-je la force de me relever ?

Ces voix, ces échos,

Me sont-ils destinés ?

Si tu m’aimes, viens me sauver

Si tu m’aimes, aide-moi à voler

Offrez-moi des ailes

Je veux voir l’infini

Le toucher de mes doigts meurtris

Qui es-tu?

Pourquoi vouloir me sauver?

Je tombe

Être une goutte

Voler pour l’éternité

Entendre ta voix m’appeler

Ce chant qui me porte

Entendre à jamais

Voir mes plumes s’éparpiller

Fermer les yeux

Te voir en m’éveillant

Voler, Voler vers l’infini

Voler pour l’éternité

Voler pour toucher le ciel

Voler pour secouer les gouttes qui me couvrent

Voler pour aimer

Envie de rien

Savoir que demain est creux

Le même cercleLe même soleil implacable

La même certitude

Voler vers un ailleurs

Fermer les yeux

Te voir en m’éveillant

Oublier

Oublier

Étendre mes ailes vers l’infini

Ne plus tomber

Te voir

T’entendre

Fermer les yeux. »  

Plus qu’une chanson, cela semblait être un poème, sur lequel Harry avait appliqué une mélodie. Quoi qu’il en soit, le cœur de Draco s’était arrêté l’espace de sa « chanson ». Et maintenant qu’il avait fini, Potter lui souleva le menton, le regarda droit dans les yeux, et eut l’air infiniment triste, et surpris aussi.

Draco aurait bien aimé voir ce qu’il avait vu dans ses yeux, car lui-même ne savait plus.Plus s’il pleurait, s’il souriait, s’il avait l’air con ou pathétique. Juste que Potter le regardait. Et son cœur manqua un battement. Ses lèvres sur les siennes.

Si cela était humainement possible, elles lui avaient manquées. Le goût de Potter. Il était indescriptible, c’était juste le sien, et cela lui suffisait amplement. Si seulement ses lèvres ne pouvaient jamais plus quitter les siennes. Et ses bras son dos. Et sa main sa nuque. L’étroitesse de sa cabine de douche lui convenait parfaitement. Plus que de raison.

Mais de toute façons, la raison avait abandonné Draco Malfoy depuis longtemps.

Depuis qu’Harry était entré dans sa chambre, et à chaque fois qu’il se retrouvait en sa présence, les derniers temps. Il perdait les pédales. La raison. Plus rien n’importait.

Et pourtant, là ce qui lui importait, même s’il crevait d’envie de ne jamais interrompre ce baiser, qui, contrairement à la nuit dernière, était lent, doux, et passionné. Harry prenait le temps de goûter ses lèvres, de toucher sa langue, c’était de savoir ce qui régissait  Potter. Quelle envie, quel sentiment, quel ordre, quelle drogue…

Alors même s’il aurait voulu s’abreuver de Potter encore et encore, il se détacha de lui, mais plus doucement que ce à quoi il avait aspiré.  

Potter leva un sourcil interrogateur. Merlin, il était encore plus sexy lorsqu’il faisait cela. « Ce type veut me faire crever » pensa-t-il.

Dray reprit son souffle. Eh oui, embrasser un Potter, ça essouffle ! 

« - Alors dis-moi maintenant, on a fait quoi la nuit dernière ?

- … »

Nan, c’était pas assez dur comme ça de lui parler, il fallait qu’en plus, Potter y mette du sien pour lui rendre la tâche encore plus ardue. A savoir, il était en train d’enrouler une mèche de Draco sur son doigt, et rapprochait dangereusement sa tête de la sienne. Et, comble du comble, son autre main se baladait sur la cuisse de Draco. 

« - On peut savoir ce que tu fais, Potter ?

- Je tente une approche. » Cette fois-ci, ce fut le tour de Malfoy de hausser un sourcil. Décidément, il ne comprenait plus rien.

« - On peut savoir en quoi elle consiste, exactement ?

- Si tu me laisses faire, tu vas pas tarder à le découvrir Dray… » Et, sur ces belles paroles, sa main glissa vers le sexe de Draco, qui avait une fâcheuse tendance à se dresser…

« - Potter…. » gémit Draco. «  Potter. Pourquoi ?

- Pourquoi ? Je veux te satisfaire, Malfoy. Et toi, pourquoi imposes-tu des barrières à ton corps ? Tu te meurs de moi. » Et il le fit taire en pressant à nouveau ses lèvres sur les siennes.

Et Malfoy se dit que, finalement, ils pourraient bien encore parler après… 

 

C’était le week-end, et Potter s’apprêtait à prendre Draco dans un bac de douche. 

 

Alors que Potter s’occupait de la partie sensible de Malfoy, j’ai nommé son sexe en état d’excitation extrême, Draco leva les yeux, essayant d’empêcher la jouissance de venir, avant même que Harry ait commencé.

Et il vit.Il vit les mots qu’Harry avait tracés avant de le prendre dans ses bras, et de lui chantonner ces quelques mots. Et les larmes reprirent de plus belle. Tant d’eau…

Il tremblait. 

Potter se releva, arrêtant à regret les caresses intimes qu’il faisait à l’aide de sa langue au phallus de Draco.

« - Dr… Draco ? Merde DRAY ! Qu’est-ce qu’il y a ?

- ….

- Parle-moi Draco. Pitié.

- … Moi aussi je … je t’ai demandé cela… Potter. Je n’y ai pas eu droit. Alors pourquoi toi, tu l’aurais ? fit Draco, tentant de se reprendre.

- Parce que toi, tu … Je…

-  Mais… encore ?

- A ton avis, Draco, je fous quoi la ? Je m’apprêtais à faire quoi ?

- Humpf. A profiter de ta pute attitrée….. HEY ! » 

La main d’Harry partit, Draco ne l’avait pas vue venir. Potter perdait le contrôle… il aurait trouvé cela intéressant, s’il n’avait pas été aussi concerné. 

« - Draco, pourquoi as-tu si peu de considération envers toi-même ? Tu es loin d’être une pute.

 - Je suis quoi alors ?

- Je…

- Ouais. Génial. Dégage. Ca fait trop longtemps que t’es là de toute manière.

- Draco. Je m’en souviens.

-  … 

-  …

- Mais… QUEL FILS DE …

- Draco, écoute, je …

- Mais j’en ai rien à fiche de ce que tu voulais faire par là. T’as toujours pas capté ? Putain Potter, je suis pas une peluche, ni un buisson, et pas une belette. J’ai des sentiments merde. Tu fais chier. Vas-t-en. T’es là, mon cul que t’es là… T’es là pour prendre ton pied, mais le reste, t’en as rien à fiche.

- Dray…

- Et ne m’appelle pas comme ça ! Je suis ta pute, pas ton copain !

- Ces mots, je les réécrirais autant de fois qu’il le faudra.

- ….

- Et ma chanson, elle était pour quoi à ton avis ? «  Fermer les yeux. Te voir en m’éveillant. » Ca veut dire quoi pour toi ça ?

- Potter. Je… je ne veux plus y penser. Dégage. Je me suis trompé. J’ai cru que tu pouvais tomber amoureux de moi. Que tu pourrais faire plus que de prendre ton pied en baisant avec moi… Que… » 

Potter s’était approché de son oreille, et, tout doucement, il lui chuchota :

«  Draco. Je ne suis pas prêt pour ca. Je ne sais pas pourquoi tu m’aimes, mais je ne veux pas savoir au fond. Si tu m’aimes, c’est que, quelque part, je dois être quelqu'un de bien. Mais j’ai été quelqu’un de bien toute ma vie, même au berceau. Alors pour toi, j’aimerais être juste Harry. Potter avec tous ses défauts. Avec sa fierté et ses faiblesses. Avec son envie insatiable de toi. Alors si tu n’es pas prêt pour ca, dis-moi de partir, mais ne me demande pas pourquoi, je ne sais pas moi-même. Non, attends j’ai pas fini. Ce matin, je voulais te faire payer. Au lieu que mon bas-ventre s’enflamme, il s’est crispé de douleur, dans le couloir, l’autre soir. Et je n’ai pas compris pourquoi. Et puis tu as bandé en Potion…

- Potter. Je te préviens…

- J’ai trouvé ça bandant Dray. J’avais envie de toi. Mais Rogue était là. Et puis j’ai compris, que le prix que je voulais te faire payer, au fond, c’était pas de te tabasser ou de t’insulter, mais de te posséder. Mais hier soir… j’ai perdu pied. Tu m’as emmené je ne sais trop où, mais dans un endroit ou notre haine, nos insultes, et nos différences n’avaient plus d’importance. Où seuls nos corps comptaient, et ils s’assemblaient parfaitement. J’ai eu peur Draco. Peur que toi, tu aies un pouvoir sur moi. Alors j’ai essayé, essayé de tout arrêter. Mais tes mots, tes mots Dray, ils m’ont fait réaliser ce que je n’avais jamais voulu voir. Oh, ils m’avaient prévenus, m’avaient dit qu’en baisant avec toi, j’allais te détruire, que tu m’aimais… et puis, c’est de la faute de Ron et…

- Potter. Et pourquoi hier soir, as-tu décidé de me prendre en étant… nu ?

- Parce que je … je ne sais pas Draco. Avant, je, je refusais de réaliser vraiment ce que nous faisions. Parce que c’était tellement contradictoire et …

- C’était ?

- Euh… ouais. Parce que là, je… euh Draco, tu …

- Je quoi ? fit celui-ci avec un sourire suggestif.

- Euh, ta main, elle …

- Elle ne s’est pas égarée Potter. Elle est là où elle doit être. Ne me fais pas croire qu’elle te dérange… pas après le « nos corps s’assemblent si bien ». » 

 

« Je devrais peut-être arrêter l’eau... Merde ! Pourquoi j’ai des pensées aussi connes alors que Potty est en train de me mordiller le lobe de l’oreille et de caresser mon dos ? » pensa Draco.

Et, en effet, après ces mots, et puisque la main de Draco s’était glissée dans le creux de la hanche de Potter, à savoir tout tout près de son sexe bien tendu, Harry s’était permis de reprendre son exploration de Draco. 

Potter lui avait fait comprendre qu’il était attiré par lui, mais qu’il était trop tôt pour parler… d’amour. Peut-être, qui sait… mais pour l’instant, ils étaient juste tous les deux follement excités.

Et puis, se dit Draco, si je suis voué aux enfers, autant me damner avec plaisir et application. Plaisir qui, nul besoin de le préciser, aurait pu lui être amené par la présence seule de Potter. Merlin, il était malade. Malade de lui. Il allait le rendre fou.

 Mais tant pis, c’était si… nan pas bandant, ça il était déjà en train de le faire depuis euh le début du commencement ? Disons, bon. Good. Bueno. Gut.

Quoi qu’il en soit, ils allaient continuer ce qu’ils avaient commencé de si bon pas, dans ce bac de douche, sous l’eau brûlante, leurs corps tremblants, leurs mains cherchant, tâtant, et leurs lèvres embrassant, suçant et goûtant réciproquement.      

 

 

 

 

 

 

A SUIVRE          

Voilaaa vous avez enfin votre chapitre 5 ! Et Merlin sait comme j'ai été longue à poster.. Alors j'espère que l'attente en a valu la chandelle, et que ce chapitre vous plaît. Je ne sais pas ce que ca vaux... mais vous me ferez le plaisir de me le communiquer = )       

Ah et puis, le Poème qu'Harry chantonne à Draco dans la douche, ben il est de moi, alors les réclamations, c'est à moi qu'il faut les faire. Il s'intitule : Voler vers le fond, Voler vers l'infini. Je l'ai écrit pas spécialement pour cette fic, mais tout d'un coup, il m'a semblé être adapté et coller à peu près aux sentiments de Harry... J'espère que vous appréciez !!

Bisous-bisous les gens et merci de me lire *______*

 

 
 
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