/* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:11.0pt; font-family:"Calibri","sans-serif"; mso-ascii-font-family:Calibri; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-theme-font:minor-fareast; mso-hansi-font-family:Calibri; mso-hansi-theme-font:minor-latin; mso-bidi-font-family:"Times New Roman"; mso-bidi-theme-font:minor-bidi;} Bonjour à vous tous ! Je suis affreusement désolé pour l’affreux retard de ce chapitre… Je sais pas pourquoi on appelle ça le temps des vacance… parce que pour moi, c’est loin d’être le temps des vacances (lol) En fait, je suis pas en vacance, les miennes sont les deux premiere semaine de septembre, mais c’est celle de ma soeur… Au secour, je crois qu’elle n’a pas vraiment compris le principe que quand on travaille pas on se repose. J’ai à peine pu toujours à mon ordinateur depuis un mois… Et pour moi, c’est une véritable catastrophe (lol) Bon j’arrête de vous ennuyer avec ma vie trépidante (ici, vous comprendrez que mon ton de voix est sacastique ^_^) Je vous laisse profiter de ce chapitre. Bisous Novalie DE JOLIS PETITS SECRETS Titre: Pretty Little Secrets Auteur: sparkley-tangerine Correctrice: Love Gaara of the Sand Disclamer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice. Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligés de continuer à lire. L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte des livres 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au) -OoOoO- Chapitre Quinze Sceller par un baiser -OoOoO- Tout le monde fut silencieux après l’explosion de Dobby. Harry ne pouvait comprendre le fait que la femme à qui il parlait, il y avait seulement quelques minutes, était morte. « C’est impossible Dobby ! J’étais avec elle ! Buvant du thé ! » Les joues de Dobby étaient brillantes de larmes alors qu’il secouait la tête. « Le thé ! Il était empoisonné. Monsieur Harry Potter, monsieur ! Empoisonné ! » Dumbledore entra en action. « Pompom, s’il-vous-plait, contrôlez M. Potter pour les poisons. Où est-ce arrivé ? » La dernière question était directement pour Dobby. « Dans les cuisines, monsieur ! Juste après le départ de monsieur Harry Potter ! Il y avait beaucoup de sang ! » Narcissa s’était approché pour se tenir à côté de son mari, regardant curieusement son fils et Harry. Quand Dumbledore avait ordonné que le Garçon-Qui-avait-Survécu soit contrôlé pour les poisons, Draco avait rapidement attrapé sa main. Qu’est-ce qui se passait ici ? Madame Pomfresh parcouru lentement le corps d’Harry avec une lumière bleue venant du bout de sa baguette. Quand ce fut terminée, elle attrapa une bouteille de potion vide et piqua le doigt d’Harry avec le bout de sa baguette, prenant un échantillon de sang. « L’examen est négatif, Albus. Je vérifie son sang maintenant. » Rapidement, elle sortit deux petites fioles de sa robe, une claire et l’autre noire. Après avoir ajouté la potion noire et épaisse au sang, elle attendit. « Le révélateur s’accroche à tous les types de poison sanguin. Après que nous ayons ajouté la potion claire, s’il y a un poison dans le sang, la potion aura des tâches noires et le liquide deviendra de la couleur du poison. S’il devient clair, il n’y a pas de poison. Elle ajouta finalement la mixture claire et la pièce regarda dans un silence tendu. Elle s’éclaircit lentement démontrant qu’il n’y avait pas de poison dans le sang d’Harry. Sirius soupira de soulagement. Dumbledore se retourna vers Dobby. « Sais-tu quel elfe de maison a servi Sybille et M. Potter ? » Dobby hocha de la tête, ressemblant à un Bobblehead qu’Harry avait souvent vu à l’arrière de plusieurs automobiles moldues. « C’est une amie de Dobby, Winky ! Mais elle ne voudrait pas faire de mal à une mouche ! Elle ne voudrait pas ! » « S’il-te-plait, amenez-la. Il est possible qu’elle soit simplement une autre victime. » Dobby s’éloigna en un ‘‘CRACK’’ et la pièce tomba silencieuse. Blaise posa finalement la question que tout le monde avait à l’esprit. « Qui voudrait empoisonner Trelawney ? Tout le monde sait qu’elle est… était qu’une menteuse, qu’elle n’avait aucun talant pour la divination. » Harry, Sirius, Remus et Dumbledore échangèrent un regard. Étant les deux plus proches amis de James Potter, Remus et Sirius étaient au courant pour la prophétie sur Harry et Voldemort, James l’ayant entendu de Dumbledore lui-même. « Sybille Trelawney a fait deux authentiques prophéties dans sa courte vie. » fut tout ce que dit Dumbledore avant que Dobby et Winky n’apparaissent. « Maître, Winky est désolée ! Winky devrait être punie ! Winky devrait être tuée ! » Dumbledore, qui était plus grand que la plupart des sorciers, dominait l’elfe de maison sanglotant. Tous regardèrent en état de choc, alors que le Directeur sortait sa baguette et envoyait un sort violet sur Winky. Au lieu de tuer l’elfe de maison, malgré que cela fût dans les droits de Dumbledore, le sort l’entoura avant de tourner au jaune. « Exactement ce que je supposais. » dit Dumbledore, parlant plus pour lui-même qu’à quelqu’un dans la pièce. « Winky a été mis sous Impérium dans la dernière heure. » Un impardonnable. Les seules personnes qu’Harry connaissait pour aimer lancer des Impardonnables était les mangemorts. Dumbledore ne semblait pas troublé par cela. Au lieu de ça, il ignora les occupants de l’infirmerie et se concentra sur Winky. « Est-ce que, par chance, tu te souviendrais de tes ordres ? Qui était la cible ? Tu ne seras pas punie Winky. » ajouta-t-il à l’elfe de maison tremblant, ayant l’air effrayée. « Quelqu’un t’a forcé à faire cela. » Winky hocha de la tête avant de plisser des yeux, réfléchissant. « Je devais mettre le poison dans… le thé spécial de quelqu’un. Il a dit qu’il commanderait à la vanille parce que c’était son favori. Harry inspira brusquement, attirant le regard de tous sur lui. Il était la cible, pas Trelawney. Quelqu’un avait essayé de le tuer. Quelqu’un qui connaissait son thé préféré. « Ça sera tout. Dobby, emmène Winky aux cuisines. Vous êtes libérés de vos travaux pour aujourd’hui. » Dobby acquiesça et ramena son amie toujours en pleurs à leurs tâches, les elfes de maison croyant que leur punition était de ne pas travailler. Harry regarda Dumbledore, les yeux assombris. « C’est mon thé qui était empoisonné. J’ai bu celui du professeur Trelawney par erreur. J’étais pressé. » Pansy soupira. « Et bien, je suppose que la question est, qui voudrait t’empoisonner ? » Harry fixa la jeune fille. « As-tu un moment ? La liste est très longue. » « Et elle commence et se termine avec Voldemort. » dit Remus doucement. Dumbledore regarda Narcissa et elle lui fit un sourire triste. « Je suppose que vous voulez savoir où j’étais toute la matinée ? » Dumbledore acquiesça, ayant l’air désolé. La tête de Draco se leva d’où il fixait le sol. « Vous ne pouvez pas penser que ma mère a quelque chose à voir avec cela ! » Harry serra bien fort la main de Draco. « Je suis sûr qu’il ne le pense pas. Mais c’est mieux qu’elle ait un alibi si le Ministère essaye encore de faire porter le chapeau aux Serpentard. » Narcissa approuva. « Rosemerta pourra confirmer que le suis arrivée par poudre de cheminette tôt ce matin et que j’ai pris un déjeuner dans son charmant petit pub. Quand je suis arrivée à Poudlard, je suis entrée en collision avec Sabrina Vector, une de mes amies quand j’étais ici, elle m’a amené ici. Satisfait ? » Dumbledore lui sourit. « Très. Et bien, je dois y aller. Je dois informer le Ministère de ce qui est arrivé. » Il regarda Harry. « Souvenez-vous de ce dont nous avons parlé M. Potter. » Puis, il partit. Il y eut une pause embarrassante, pendant laquelle Harry et Draco réalisèrent qu’ils se tenaient toujours par la main. Ils se séparèrent aussitôt. « Donc maman, qu’est-ce que tu fais ici ? Je pensais que tu devais rester en France. » Narcissa sourit à son fils avant de soulever une épaule. Ce n’était pas un comportement typiquement Malfoy remarqua Harry. « Quoi, pas de câlin pour ta mère ? » Lucius regarda sa femme. « Tu évites la question Cissa. Je pensais que nous étions d’accord que c’était plus sécuritaire pour toi de rester en France avec ton cousin ? » ‘‘Cissa’’ se retourna vers son mari, ses yeux bleus brillants de colère. « J’ai reçu hier seulement une lettre sur ce qui est arrivé à Pré-au-lard. » Pour la première fois dans sa vie, Harry vit Lucius Malfoy nerveux. « Oh. Et bien, les lettres voyagent incroyablement lentement de nos jours, tu ne trouves pas ? » « Maintenant, il est dans le trouble, » chuchota Draco à Harry qui regardait les parents de son compagnon avec confusion. Narcissa avança vers son époux, qui semblait vouloir s’échapper, mais se tenait royalement debout. « Oui, elles le sont. Particulièrement, si tu es caché par votre époux manipulateur. Je me rappelle clairement que tu as dit que vous alliez rester à l’endroit le plus sécuritaire de la Grande-Bretagne pendant que je serais en France, et maintenant, vous n’êtes ici que depuis une semaine et vous êtes attaqués par des Détraqueurs et des vampires ! » Lucius plissa les yeux vers sa femme, mais elle continua avant qu’il ne puisse parler. « Et un membre du personnel a été tué alors que tu es dans ‘‘l’endroit le plus sécuritaire de Grande-Bretagne’’! » « Je ne me cache pas du Seigneur des Ténèbres. » « Tu ne te cache pas du Seigneur des Ténèbres ? Alors pourquoi le devrais-je ? » Lucius vit où ceci l’amenait. « Mais Cissa -- » Mais la mère de Draco ne voulait pas entendre ça. « Pas de ‘‘mais Cissa’’ avec moi ! Je reste et tu ne pourras pas m’en empêcher ! » « Ce n’est pas sur ici ! » Narcissa leva les mains dans les airs. « C’est ce que je te disais ! » Voir les… si guidés et convenables Malfoy se disputer comme un couple normal sembla soudainement incroyablement amusant pour Harry et le reste de la pièce. « Tu devrais savoir que l’on ne gagne jamais une dispute avec un Black, Lucius, » dit Remus en souriant. Sirius inclina la tête sur le côté. « Tu dis ça comme si c’était une mauvaise chose. » « Ça l’est. » Draco quitta Harry pour arrêter ses parents de s’embarrasser encore plus. « Père ça ne fonctionnera pas. Laisse Ma’ rester. Elle va pouvoir être utile à Dumbledore maintenant avec la Divination qui est libre. Et je suis certain que nous aurons besoin de son aide. » Narcissa, qui souriait narquoisement à son mari, se tourna pour regarder son seul fils, inquiète. « Qu’est-ce qui ne va pas ? Quelque chose est arrivée ! Je le savais ! » Snape s’avança. « Peut-être devrions-nous aller dans un endroit un peu plus privé pour cette conversation ? Malheureusement, il est nécessaire que tous soient présents. » Il fixait les Gryffondors. Remus l’ignora alors que Sirius tira la langue au maître des potions. « Peut-être Harry pourrait nous amener à sa Salle sur Demande ? » Harry acquiesça et sauta en bas de la table d’examen où il avait été étendu pour vérifier la présence de poisons. « C’est au septième étage. » -OoOoO- Comme il était encore tôt, le groupe se rendit sans problème. Harry eut un étrange regard quand il commença à faire des allées et venues devant la même portion de mur, mais fut récompensé par l’apparition d’une porte qui se fondait pratiquement avec la couleur du mur. La pièce qu’Harry avait demandée était une salle où il pourrait avoir une conversation et sans préjugé de maison. La pièce était noire. « Vraiment déprimant Harry. Merci. » dit Sirius en se promenant dans la pièce et se laissa tomber sur un fauteuil mou. Harry haussa les épaules. « J’ai une vie déprimante. » Une fois tout le monde assis, personne ne savait vraiment comment commencer. Finalement, Draco soupira et se frotta le visage. « Je vais expliquer du mieux que je peux, mais je vais avoir besoin de ton aide, » dit-il à Harry. Le Vélane acquiesça. « J’expliquerai ce que je peux. Je n’ai pas encore fini mon livre. » Snape ricana à cela. Draco l’ignora et regarda sa mère. « Mom, qu’est-ce que tu sais sur les Vélanes élémentaires ? » Les yeux de Narcissa s’élargirent. Ce n’était pas une question normale de tous les jours. « Ils sont très rares, » commença-t-elle, le tenant un peu des contes de fée que sa mère lui racontait. « Magnifiques, puissants magiquement, ils sont dans le haut de la société. C’est même considéré comme un honneur d’en voir un. Plusieurs familles de sang-pur racontent des contes sur eux, leurs puissances, leurs beautés, mais la plupart sont sur leurs dévotions pour leurs âmes sœur. Le sorcier ou la sorcière qui devient le compagnon d’un Vélane élémentaire est très chanceux. » Harry sourit. « Gee, je suis flatté. Bien que ça craint de voir combien la plupart des personnes en connaissent plus sur moi que moi-même. » Narcissa regarda Harry, pas seulement un coup d’œil furtif, mais vraiment le regarder. Ses sourcils s’élevèrent alors qu’elle prenait conscience des changements depuis la fois qu’elle l’avait vu à la coupe du monde de Quidditch. Ses cheveux, ses yeux, son langage corporel étaient complètement différent de la première fois qu’elle l’avait vu. Il ressemblait plus à ses deux parents que seulement une copie carbone de son père. « Tu es -- ? » Elle laissa la question s’éteindre, mais sourit quand Harry hocha de la tête. « Par ma mère. » Narcissa hacha de la tête, excité. « Oui, ta mère était une femme magnifique. Oh mon Dieu. C’est si excitant. » Draco sourit devant l’incrédulité de sa mère. Maintenant la partie la plus importante. « Harry vient juste de recevoir son héritage cette semaine et vient aussi juste de découvrir son âme sœur. » Narcissa n’était pas une Serpentard pour rien. « Draco ? » demanda-t-elle, et les deux garçons approuvèrent. Harry n’avait jamais pensé qu’il rencontrerait quelqu’un qui l’étreindrait aussi fort que le faisait Mme Weasley, mais il lui fut prouvé qu’il avait tort. Narcissa Malfoy s’approcha de lui et le fixa dans les yeux pendant une minute complète. Harry ne pouvait éloigner son regard du sien, bien qu’elle semblait pouvoir connaitre toutes les mauvaises pensées qu’il n’avait jamais eues. Elle dû trouver ce qu’elle cherchait parce que soudainement elle s’avança et étreignit Harry, qui jura avoir entendu quelques côtés craquer. Ensuite, il eut quelques questions à propos de ce qui arriverait. Harry dit que lui et Draco avaient besoin de parler de cela, le Vélane envoyant à son compagnon un regard qui lui disait de penser avant de sauter dans quelque chose. Ce qui semblait donner à Pansy, à qui Harry n’avait pas encore pardonné, l’idée que Draco et Harry devaient parler tout de suite et tout résoudre avant qu’Harry n’essaie de mourir de nouveau. Elle poussa rapidement les deux garçons à l’extérieur de la salle sur demande et leur dis de « Ne plus vous montrer avant qu’il n’y a plus de danger qu’un des deux meurt ! » Avec nulle part où aller, Harry suggéra qu’ils aillent dans les appartements des Gryffondors dans la salle commune des Serpentards. Quand ils arrivèrent, ils furent reconnaissants que le reste des Serpentards soit encore endormi ou en train de déjeuner, ainsi ils n’eurent pas d’interruptions. Les pièces étaient aussi en désordre que lorsque Pansy était venu espionner, alors Harry entraina Draco dans sa chambre, essayant de ne pas rougir à ce que cela impliquait. Nerveux, Harry resta debout alors que Draco s’assoyait au bureau dans sa chambre, mettant ‘‘Chuck’’ à côté du livre d’Harry sur les Vélanes élémentaire. « Alors, je comprends que tu as lu ton livre ? » demanda Harry, évitant le contact visuel avec le blond. Draco acquiesça, mais réalisa qu’Harry ne le regardait pas et répondit. « Oui, pendant que tu dormais. J’ai eu toutes les réponses dont j’avais besoin pour prendre une décision. Tout est clair. » Harry le regarda, confus. « Pourquoi m’as-tu donné ce choix idiot si tu as besoin de moi pour vivre ! Tu ne m’as jamais dit la moitié des informations nécessaires pour me faire prendre un choix informé et tu t’es presque tué dans le processus ! » « Si je t’aurais dit que j’allais mourir si tu disais non, tu aurais accepté par pitié ! Puis dans six mois, si nous n’avions pas créé les liens, je serais mort de toute façon ! J’ai essayé de te sauver du temps ! » Draco envoya un regard incrédule à Harry. « T’as pris la décision pour moi ! » Draco se leva et s’avança pour attraper les épaules d’Harry. « Oui, si j’avais su la vérité, je n’aurais pas dit non, mais ça ne serait pas car j’ai pitié de toi. » Harry chantonnait pratiquement de bonheur à l’approche de Draco, mais essaya de se concentrer sur ce qu’il disait. « Non ? Pourquoi ? » Draco sourit. « Harry, nous sommes parfaits l’un pour l’autre. Si nous ne l’étions pas, je ne serais pas ton âme sœur. Je ne suis pas certain si c’est de l’amour, mais j’ai ressenti quelque chose avec toi les derniers jours que je n’avais jamais expérimenté avant. C’est étrange pour moi, un Serpentard jusqu’à l’os, d’agir si… » Il haussa les épaules ne trouva pas les bons mots. « Poufsouffle ? » suggéra Harry et Draco approuva. Le brun sembla perdu dans ses pensées. Tout arrivait si vite ! Mais Draco était si près et d’après ce que le cerveau embrouillé du Gryffondor avait compris, d’accord pour se lier avec lui. Alors qu’Harry réfléchissait, Draco pouvait l’étudier. L’attirance était là. Définitivement. Il voulait faire courir ses doigts à travers les cheveux doux d’Harry et embrasser ses lèvres comme lorsqu’ils étaient sous la pluie. Alors, pendant que ce dernier réfléchissait, Draco complotait. Le temps qu’Harry le remarque, le Serpentard blond s’était approché et l’avait coincé dans un coin. Le souffle chaud de Draco caressait la lèvre inférieure d’Harry, envoyant des frissons le long de la colonne du Vélane. « Qu’est-ce que tu fais ? » chuchota Harry, son contrôle ébranlé. S’approchant encore, Draco parla, ses lèvres frôlant celles d’Harry. « Je me lie à toi. » « Oh, » fut tout ce qu’Harry pu dire avant d’abandonner et de laisser ses instincts de Vélane prendre le relai. Le goût de café, de vanille et de cannelle, ses trois saveurs favorites, emplirent la bouche d’Harry alors qu’il embrassait son compagnon. Malgré que ce soit Draco qui avait initié le baiser, le désir de réaliser le lien était presque insupportable et Harry fit courir rapidement sa langue sur la lèvre inférieure de Draco, demandant encore s’il était sûr de vouloir ceci. Draco n’hésita pas et alors qu’ils se laissaient aller dans le baiser, une chaleur envahit leurs corps alors que le premier lien se créait. Harry sentit de vifs éclairs de lumière les entourer, même s’ils avaient les yeux fermés. Elle tourbillonnait autour d’eux avant qu’ils deviennent de l’eau froide et claire. En un rien de temps de la glace et du feu en émergèrent et les entoura dans un aura rouge et bleue. Finalement, leur propre magie sortit de leurs corps et s’enroula ensemble dans une étreinte avant de retourner à son propriétaire. Harry laissa la bouche de Draco, prenant une profonde respiration pour s’étudier. L’arrière de son cou picotait où les mains de Draco étaient restées, mais c’était un picotement plaisant qui lui donnait le goût de baisser la tête de nouveau pour embrasser son âme sœur. Harry regarda Draco. Il semblait illuminé de l’intérieur, sa tête s’inclina de façon mignonne sur le côté, un petit sourire gracieux sur le visage. « C’était… impressionnant. » dit-il et il leva les yeux vers Harry, les yeux brillant. « Je me sens plus puissant. Est-ce de ta faute ? » Harry plissa les yeux en réfléchissant. « Je pense que nous avons réveillé tout pouvoir dormant en toi. Est-ce que tu sens les éléments ? C’est un signe que le premier lien est complet. Honnêtement, je ne savais pas que j’avais autant de puissance. » Draco mordilla sa lèvre en réfléchissant. Cela attira le regard d’Harry sur les lèvres de Draco. Elles étaient plus roses et légèrement enflées par l’intense travail qu’elles venaient de faire. Harry décida de lui rembourser un peu de ce qu’il lui devait. Soudainement, Draco sentit Harry se déplacer et fut surpris d’être maintenant celui qui avait le dos au mur avec Harry installé dans sa bulle personnelle. « Qu’est-ce que tu -- » Sa question fut coupée quand Harry recouvrit ses lèvres avec les siennes. Ce ne fut pas quelque chose dont Draco se plaignit. -OoOoO- Pour le prochain chapitre, je vais essayer de le publier après mes deux semaines de vacance, soit dans les environ du 15 septembre. Je garanti rien car mon ordinateur a recommencé à faire des siennes et je crois bien que je vais devoir alors le porter chez le réparateur… Je crois bien qu’il commence à y allé trop souvent, bientôt le réparateur va le voir plus souvent que moi. (lol) Le titre est: À travers les yeux d’un meurtrier. Bisous à tous ! Novalie |