DE JOLIS PETITS SECRETS
Titre: Pretty Little Secrets
Auteur: sparkley-tangerine
Correctrice: Love Gaara of the Sand
Disclamer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice.
Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligés de continuer à lire. L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte des livres 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au)
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Chapitre Seize
À travers les yeux d’un meurtrier
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Ça n’avait pas fonctionné. La putain de chance de ce Potter avait gagné à la fin. Encore ! Au lieu que ça soit lui qui boive le poison, ce fut cette menteuse de Trelawney !
Maintenant, Dumbledore serait à l’affut de la moindre chose suspecte et la sécurité de Potter serait augmentée. Ce trou de cul ingrat !
Il ne méritait rien ! Pas la renommé, la gloire, les amis ! Ça n’aurait pas dû être pour lui ! Tout ce que lui avait, ce n’était que des coups d’œil éphémère, dédaigneux, des regards de pitié, alors que lui, Potter, avait tout.
Même sa famille avait été oubliée ! Tout ce qu’ils avaient sacrifié pour Dumbledore et tout ceci ne signifiait plus rien maintenant !
Pendant une minute, l’étranger resta en périphérie de Pré-au-Lard. Entrer à Poudlard avait été facile. Harry Potter n’était pas le seul à connaitre plusieurs passages secrets de Poudlard. N’ayant pas d’amis pour l’aider rendait son but plus facile.
Il était obsédé par le survivant depuis aussi loin qu’il se rappelait. Le meurtrier réfléchit alors qu’il commença à marcher pour retourner chez lui. Il avait lu tous les livres sur le garçon qu’il avait pu trouver avant d’entrer à Poudlard ! Et quelle chance d’avoir son obsession répartit dans sa maison ! Depuis la première nuit de Potter à Poudlard, il l’avait regardé, l’avait étudié. Connaître son ennemi.
Il l’avait regardé et avait bouillit silencieusement de rage alors que le garçon avait gagné une place dans l’équipe de Quiddich de leur maison, s’était construit son propre groupe d’amis loyaux et d’admirateur, et qu’il avait sauvé la pierre Philosophale. Et s’était seulement la putain de première année.
Mais cette année, ça serait différent. Son maître était de retour ! Bien que Potter se fût encore échappé, ça ne serait pas long avant que le seigneur des Ténèbres tue ce bâtard pour toujours. Harry Potter n’avait pas seulement à s’inquiéter de ses ennemis, oh non. Il y avait un serpent dans la tanière du lion.
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Les Auror arrivèrent à midi. Les cuisines furent fermées et chaque elfe de maison fut interrogé. Winky fut la seule à avoir eu une interaction avec le meurtrier, mais un autre elfe de maison, Twink, avait vu une silhouette encapuchonné fuir les cuisines peu de temps avant l’arrivée d’Harry.
Quand l’interrogatoire des elfes de maison fut terminer, Dumbledore, en temps que directeur, donna un nouvel ordre. Les elfes de maison ne seront plus capables d’obéir à toutes personnes qui n’étaient pas un étudiant ou un professeur de Poudlard. Pas plus qu’ils pourraient obéir à quelqu’un qu’ils ne pouvaient pas identifier. La localisation des cuisines serait mis sous un sort avancé de cache, qui était seulement à un pas du sort de Fidelitas, pour toute personne qui ne savaient pas déjà où elle se trouvait. Pour ceux qui savaient, ils seraient identifiés et gardé sur surveillance.
La chose étonnante à propos de tout cela était que la personne devait être un novice pour avoir utilisé un elfe de maison qui pouvait parfaitement ce souvenir des instructions qu’il avait reçu sous ‘‘Imperio’’. Le Ministère avait fait de nombreuses études sur les Impardonnable avant d’en faire des impardonnables, et ces tests incluaient leurs effets sur les elfes de maison. Hermione aurait probablement fait une crise d’apoplexies après avoir entendu cette petite information, mais Harry n’avait pas l’envie de prendre le flambeau de la S.A.L.E. Pas encore.
Ensuite, tout ceux qui vivaient actuellement à Poudlard furent assemblé dans la Grande Salle pour être interroger. Une petite dose de sérum de vérité acquitta tout le monde, même Harry fut interrogé avec acharnement, puisqu’il avait pratiquement assisté à toute la scène.
Et puis, bien sûr, Cornelius Fudge, l’idiot, ne put résister à la tentation de visiter Poudlard et ‘‘d’exprimer sa profonde sympathie’’ devant la ‘‘perte d’un membre de la société si gentille’’.
Une fois qu’il eut entendu la façon qu’elle avait été tuée, il insinua rapidement, très lourdement, qu’il y avait un maître des potions caché à Poudlard.
« Je trouve cela très étonnant Albus que vous laissez encore certain membre de votre école enseigner pendant ces temps difficile. Le Ministère serait plus qu’heureux de vous fournir quelques professeurs plus convenables, si le besoin se fait sentir. »
Harry, qui était encore questionné par Dawlish, le seul auror présent qui n’était pas de l’ordre, arrêta et inclina la tête sur le coté. Vers Fudge et le reste des occupants de Poudlard, qui avait été déclaré non coupable, qui se trouvaient tous dans un corridor près de la Salle, l’ouïe améliorée d’Harry pouvait les entendre comme s’ils criaient dans ses oreilles.
Dawlish qui demandait à Harry pour la centième fois s’il avait remarqué quelque chose de suspect, fut coupée par Harry.
« Excusez-moi quelqu’un a mis la laisse au Ministre, mais a oublié sa muselière. »
Harry manqua le regard amusé que Dawlish lui envoya alors qu’il prenait déjà le chemin pour sortir de la Grande Salle.
Fudge avait un sourire presque narquois jusqu’à ce qu’il voit l’expression faciale d’Harry et qu’il prenne un air horrifié.
« Est-ce que votre ouïe est sélective ou êtes-vous juste bouché ? Vous savez quoi ! Pourquoi le demander à un être stupide comme vous ? »
Fudge ne semblait pas très heureux du ton de la voix d’Harry. Ou du choix de ces mots.
« J’enquête sur le meurtre d’un professeur Potter ! Même si ce que je fais n’est pas de vos affaires ! Un meurtre vient d’être commis dans un château plein de mangemorts, d’un ex-détenu et d’une dangereuse créature magique ! »
Pas la meilleure chose à dire à un Vélane élémentaire visiblement irrité.
« Est-ce que votre cerveau chétif n’a pas enregistré, Fudge, il y a une semaine à peine, vous avez fait un serment d’éloigner votre putain de cul des affaires de Poudlard ? Et de ne plus accuser les espions de Dumbledore d’activités mangemort ? »
Fudge lança des regards noirs à Harry avant de faire un signe de main dans la direction de Sirius et Remus.
« Tu oublie Black et le loup-garou ! Ça aurait été facile pour eux ! C’est une seconde nature de tuer pour une créature dangereuse ! »
Le mot ‘‘créature’’ commença à enguirlander Harry. Remus avait le regard que Harry détestait, le regard d’acceptation quand les personnes pensaient à lui comme une créature, plus bas qu’un humain. Remus était une personne bordel !
« Puis-je vous rappeler Fudge, que vous insultez ma famille. » dit Harry en se forçant à garder une voix calme, mais ses yeux étaient sombre et tourbillonnait de rage. « Sirius a été innocenté, ce qui veut dire qu’il faut oublier le passé. Et Remus » Il insista sur le prénom, haïssant Fudge pour avoir appelle l’homme au grand cœur une créature. Ferait-il la même chose s’il savait la vraie nature d’Harry ? « Il est une personne, pas une créature. Allez-vous le punir pour être la victime de circonstance, du destin ou peut importe ce que vous croyez qui dirige l’univers, alors que nous ne vous punissons pas pour votre stupidité ? Vous avez un complexe d’idiotie si large qu’il a besoin de son propre code postal ! »
Au lieu de garder la bouche fermé et de seulement avoir l’air idiot, Fudge l’ouvrit et le prouva.
« Si Black était si innocent pourquoi a-t-il fuis ? Seulement ceux qui sont coupable fui ! »
Harry ferma les yeux, serra les poings et se répéta son mantra. ‘‘ Tu ne frappe personne, Harry. Fudge ne peux s’empêcher d’être stupide, il est né ainsi. La violence ne résout rien.’’
Sirius s’avança pour se défendre lui-même, malade des doutes des dernières quinze années.
« Comment pouvais-je prouver mon innocence sans un procès ? Comment pouvais-je faire quelque chose alors que vous aviez donné l’ordre de ‘‘l’embrasser à vue’’? Vous êtes seulement vexé d’avoir l’air d’un idiot maintenant que la vérité est sortie. »
Dumbledore avait un regard froid sur le visage, ses yeux bleu normalement chaleureux ressemblaient à de la glace. « Vos idées racistes vont bientôt vous faire perdre votre emploi Cornelius. Au lieu de faire des alliances et des traités avec des alliées possibles, vous vous faites des ennemies pour les années à venir. Tout le monde ici est un des mes très bon ami et je ne tolérerai pas votre irrespect devant eux. C’est tout. »
Fudge tremblait violemment de colère. « Vous avez besoin de pourvoir deux postes dans l’école avant son ouverture dans trois semaines ! Pensez-vous que vous pouvez trouver un professeur compétant de divination et de défense en si peu de temps sans mon aide ? »
Dumbledore ne fut pas troublé. « Bien sûr. J’ai déjà les candidats parfaits, s’ils acceptent. Je suis certain que vous connaissez Narcissa, elle est une Prophétesse enregistré dans le hall des prophéties au ministère. Et depuis le retour de Voldemort -- » Fudge cria au nom. « Plusieurs parents ont écrit, demandant le retour de Remus Lupin comme professeur de défense à Poudlard. Apparemment, plusieurs étudiants ont dit à leurs parents que Remus avait été le seul professeur de Défense compétant qu’ils avaient eu, et plusieurs parents sentent qu’ils l’ont jugé trop rapidement. Avec Sirius comme assistant et professeur suppléant pendant les pleines lunes, je suis certain que tout marchera sans problème. »
Dawlish interrompit à ce moment-là le groupe de sorcier furieux avec son rapport.
« Monsieur le Ministre, il apparaît que Sybil Trelawney n’était pas la cible de l’attaque aujourd’hui. »
Fudge regarda l’auror, choqué. « Oh ? Et dites-moi qui l’était ? »
Dawlish fit un signe de tête dans la direction d’Harry. « M. Potter ici. Il apparaît que le meurtrier connait personnellement M. Potter, il connait son type de thé favori et même l’emplacement des cuisines. »
Fudge fit un sourire méchant à Harry. « Encore un ? Mon dieu, mon dieu, mon dieu. Les personnes semblent mourir autour de vous, n’est-ce pas Potter ? »
Harry sentit comme si on le frappait dans le ventre. Fudge avait un point. Ses parents, Cédric, Sirius, bien qu’il soit revenu, et maintenant Trelawney. Ron et Hermione avaient été mis dans tellement de situation menaçante, et Ginny, qu’Harry connaissant peu à l’époque, était presque morte en deuxième année !
« La mort de Sybil est un autre signe que la guerre approche, Cornelius. Une guerre que vous auriez très bien pu empêcher, si vous aviez reconnu le retour de Voldemort plus tôt. Maintenant que vous avez terminé votre enquête, je vous demanderais de partir. Votre serment ne vous permet pas de rester plus longtemps. »
Fudge lança un regard noir à Dumbledore, mais savait qu’il tenait Harry.
« Je vais revenir Albus. Avec M. Potter ici, je soupçonne que Vous-Savez-Qui veux Poudlard sous son contrôle bientôt. Bonne Journée. »
Albus regarda Harry, qui était pâle avec le regard qui évitait ceux des autres. Ce que Fudge avait dit était le point faible d’Harry.
« Harry, ce que le Ministre a dit n’est pas vrai. C’est sa revanche pour l’avoir embarrasser. Tu sembles te faire des ennemis avec des personnes vraiment important. »
Les lèvres d’Harry s’étirèrent en un minuscule sourire. Dumbledore mit une main ridé sur l’épaule du Vélane.
« C’est plus difficile de pardonner à une personne qui a raison qu’à quelqu’un qui a tort. C’est la faute de la fierté du ministre. Et cela rends les choses encore plus difficile à accepter. »
Harry acquiesça et soupira. « Je vais prendre une marche. Je vais faire attention. »
Dumbledore tendit une main alors que Sirius voulu suivre son filleul.
« Laisse-la pendant un moment. Il doit se pardonner à lui-même avant qu’il puisse pardonner à ceux qui lui causent du tort. Il ne doit pas pardonner sa culpabilité, la tolérer ou l’étouffer. Il doit la regarder en face, la comprendre, laisser l’horrible choc le renverser et le déchainer, et puis il doit pardonner. »
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Harry s’assit sur le toit de la tour d’Astronomie, regardant le soleil se coucher. Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils découvrent que quelqu’un avait essayé de le tuer. C’était probablement sous les ordres de Voldemort, mais pas Voldemort lui-même. Harry l’aurait sentit. Dumbledore l’aurait senti !
Mais ce que Fudge avait dit l’avait vraiment affecté, parce qu’il avait seulement exprimé les propres pensées d’Harry avant que Sirius revienne de la mort. Les personnes mourraient autour de lui, mais c’était surtout parce que c’était à cause de lui qui faisait peur à Harry.
Ses oreilles entendirent l’arrivée de quelqu’un juste avant que l’odeur de café, de vanille et de cannelle arrive à son nez. Draco. Une autre personne qu’il aimait et qu’il pourrait très bien perdre.
Draco s’assit à côté de lui sur le toit et resta silencieux pendant un moment.
« Qu’est-ce qui ne vas pas ? » L’inquiétude dans sa voix fit qu’Harry mit son masque ‘‘tout va bien’’.
Il sourit au blond, dans ce qu’il espérait être un sourire convainquant et dit : « Rien »
Le visage de Draco était sérieux alors qu’il lui envoya un regard sceptique.
Harry ferma les yeux et murmura presque inaudible. « Tout »
Draco agit étrangement en essayant d’être sympathique, mais ce n’était pas une habilité qui lui venait facilement.
« Voudrais-tu en parler ? Je ne brille pas par ma conversation, mais je suppose qu’après des années à écouter Pansy mes habilités à écouter devraient être bonne. »
Harry sourit. Draco divaguait. « Et moi qui pensait toutes ses années que tu aimais seulement t’entendre parler. »
Draco envoya un regard noir à un Harry taquin. « On appelle cela une image Potter. Tu devrais le savoir, la tienne est celle du Golden Boy de Gryffondor. »
Harry perdit son air égaré et il tourna le regard vers le soleil couchant rouge. « Ouais, malheureusement je suis loin d’être doré. »
Draco soupira et sortit un sandwich au thon et quelques biscuits au chocolat. Harry eut l’eau à la bouche quand il sentit les fruits de mer et le chocolat. Draco attrapa un biscuit pour lui-même et laissa le reste à Harry.
« Tu as manqué le souper. Ton parrain a dit que tu aimerais cela. Quelque chose à voir avec les vélanes élémentaire ? »
Harry croqua son sandwich, les yeux fermé avec une expression merveilleuse sur son visage.
« Je te mordrais le bras pour n’importe quelles sortes de fruit de mer et de sucre. Principalement le chocolat. Et je tuerai pour des fraises. »
Au mot ‘‘tuer’’, l’humeur dépressive d’Harry revient.
« Ce que Fudge a dit t’a vraiment affecté, pas vrai ? » demanda finalement Draco après presque dix minutes de silence.
Harry haussa les épaules. « C’est vrai. Non, écoute-moi. » demanda-t-il alors que Draco allait protester.
« Mes parents sont mort pour me protéger, vrai ? Et bien, tu ne le sais pas, mais j’avais besoin à tout prix d’être protéger de Voldemort. À ma première année, il a dit que ma mère n’avait pas besoin de mourir. Je ne sais pas pourquoi, il aurait probablement trouvé amusant de la tuer après qu’elle soit restée sans rien faire pendant qu’il me tuait, mais ce n’est pas ça l’important. Elle est morte pour moi. Je n’ai peut-être pas lancé le sort qui l’a tué, mais il y a une chance qu’elle pourrait être encore ici si elle l’avait laissé me tuer. »
« Puis, il y a eu Cédric Diggory. Je sais qu’il n’a pas mis mon nom dans la Coupe, je sais qu’il y a eu quelqu’un qui a essayé de me tuer, mais je lui ai dit de prendre la coupe avec moi. Et encore, je n’ai pas lancé le sort qui l’a tué, mais si Cédric aurait été seul Queudver se serait sauvé effrayé d’être découvert. Mais parce que j’étais là, Cédric était de trop. »
« Et je suis tombé dans ce piège en juin et j’ai entraîné Sirius dans ce gâchis au département des mystère, ce qui l’a tué finalement. Parce que j’étais là. Et maintenant, ce matin, Trelawney a bu le mauvais thé, parce que j’étais là pour prendre accidentellement le sien. Elle n’aurait pas eu à s’inquiété à propos d’un thé empoisonné si je n’avais pas été là. »
Draco regarda Harry avec surprise avant d’attraper son bras.
« Harry, as-tu dit à tes parents de rester devant un sortilège mortel pour toi ? As-tu demandé à Cédric d’entrer dans le tournoi des Trois Sorciers ? As-tu attaché Sirius et l’as-tu trainé au département des mystères ? As-tu prit la décision de Trelawney d’aller déjeuner dans les cuisines aujourd’hui ? Non. Ceci est leurs choix. Tes parents ont choisi de mourir pour toi. Cédric a choisi d’entrer dans une dangereuse compétions. Sirius a choisi de te suivre cette nuit là. Trelawney a choisi de sortir de sa tour ! Tu ne peux pas sauver tout le monde Harry. Voldemort dominerait la Grande-Bretagne maintenant si tu n’avais pas été là cette nuit là ! »
Harry regarda dans les yeux orageux de Draco alors qu’il voulait désespérément croire ce que le serpentard disait.
« Je sais cela. Je le crois vraiment. Mais je ne peux pas arrêter de penser que parce que je me soucis de ces personnes, je les mets en danger. Tu es maintenant en danger ! Ta mère et ton père ! Tes amis ! Juste parce que je suis ici. »
Harry, nous sommes tous en danger de toute façon ! Ma famille est les espions de Dumbledore depuis qu’ils ont gradué de Poudlard ! Le professeur Snape depuis avant cela ! Tu n’as pas demandé à mes parents de faire cela ! C’était leurs choix ! »
Harry soupira. « Je suis seulement inquiet, c’est tout. Poudlard n’est pas l’endroit le plus sûr de Grande-Bretagne. Pas maintenant que je suis ici. »
Draco attira Harry près de lui jusqu’à ce que le vélane pose sa tête sur l’épaule de son âme sœur.
« Je sais. Je m’inquiète pour toi aussi. Après tout, à la fin, c’est toi qu’ils essaient de tuer. »
Les deux restèrent à regarder les étoiles commencé à scintiller, espérant que les autres seraient en sécurité cette année.
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