DE JOLIS PETITS SECRETS
Titre: Pretty Little Secrets
Auteur: sparkley-tangerine
Correctrice: Personne, quelqu’un veut le devenir
Disclamer : Je ne possède ni les personnages ni l’histoire. Je ne suis que l’humble traductrice.
Note : Ceci est un slash (relation entre personnes de même sexe) alors si ça ne vous plaît pas vous n’êtes pas obligés de continuer à lire. L’histoire se passe après le livre 5 et ne tient pas compte des livres 6 et 7. Donc, c’est un univers alternatif (au)
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Chapitre Dix-sept
Apprendre à te connaître et la fin de l’été
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Avec le premier lien en place, Harry et Draco avaient six mois pour terminer les deux autres. Trois jours après le ‘‘meurtre Trelawney’’ comme les journaux l’appelait, Draco déménagea dans l’appartement des gryffondors, ce qui faisait pratiquement rougir Harry à chaque fois qu’il y pensait.
Les trois semaines suivantes s’envolèrent alors qu’Harry et Draco commencèrent à apprendre à se connaître. Au début, c’était encore un peu maladroit, mais ils restaient courtois l’un envers l’autre, presque comme des amis distant. Bien sûr des amis n’avaient pas le désir soudain de s’embrasser passionnément à toute heure de la journée. Les amis de Draco trouvaient cela infiniment amusant d’entendre les anciens ennemis se disputer bruyamment dans leur chambre une minute et puis être complètement silencieux la suivante. Normalement, Draco et Harry sortaient de leurs chambres en ayant l’air de s’être bécoter et depuis Snape restait le plus souvent dans ses quartiers privés.
Mais, peu importe combien de temps ils passaient ensemble, quand ils se disputaient, ce n’était pas amusant. Draco et Harry restaient en désaccord sur beaucoup de chose : gryffondors, serpentards, les amis d’Harry, la famille de Draco, Sirius et Remus, les amis d’Harry, la politique, la pureté du sang et les amis d’Harry, étaient seulement une partie des choses sur lesquelles ils s’affrontaient régulièrement. Même s’ils n’étaient pas les fanatiques que Voldemort pensait qu’ils étaient, la plupart des Serpentards prenait en compte la pureté du sang d’une personne comme une partie de la valeur d’une personne. Harry avait dit à Draco que ça n’avait pas de sens, quelqu’un quelque part avait fait de Draco et de lui-même des âmes sœur, égal en tout et parfait l’un pour l’autre, mais les idéaux de Draco mettaient que Harry était soit un être qui lui était supérieur soit un être inférieur. Sirius fut mort de rire quelques jours après leur dernière dispute sur la pureté du sang, Harry expliqua à Draco comment, techniquement, il était plus pur qu’eux. Snape avait prit un air acerbe.
La meilleure partie, d’après Sirius, fut quand Harry menaça Luis Montague, après qu’il ait insulté la mère d’Harry et d’Hermione Granger, disant que les née-de-moldu, ou toute personne élevée par eux, ne méritait pas d’étudier à Poudlard. Harry avait dit que si Luis reparlait comme cela encore une fois, lui, Harry, allait le castrer, s’assurant ainsi que la lignée des Montague ne continueraient pas et puis il l’étranglerait avec ses propres intestins.
Remus avait pris un air sévère et avait réprimandé Harry pour avoir menacé un autre étudiant, mais plus tard, il avait dit à Harry qu’il n’avait jamais vu quelqu’un pâlir aussi vite.
Le sujet sur lequel, Harry et Draco se heurtaient le plus souvent, était les deux meilleurs amis d’Harry, Ron Weasley et Hermione Granger. Alors que Draco semblait s’inquiéter profondément pour ses trois meilleurs amis (comme un Malfoy ne devait jamais montrer une émotion, Draco n’admettra jamais qu’il les aimait comme une famille) et qu’Harry semblait bien s’entendre avec eux, Draco ne voyait pas pourquoi il devait faire des efforts et donner une chance aux amis d’Harry. La pensée d’avoir à renoncer à Ron et Hermione à cause de Draco faisait mal au cœur à Harry, mais il avait besoin de son compagnon.
Les deux Gryffondors avaient écrit d’Amérique par deux fois à Harry pendant les vacances d’été, la poste prenant plus de temps pour voyager, mais Harry ne leur avait rien dit sur son changement ou sur Draco. C’était trop dangereux, au cas où les lettres soient interceptées, et Harry respectait trop ses deux amis pour leur dire quelque chose de cette importance par lettre.
Draco savait qu’Harry s’inquiétait pour ses amis autant que lui pour les siens, car pas une fois, même quand ils se disputaient, il avait dit à Harry qu’il devait choisir entre eux et lui. Mais Harry était déterminé à démontrer à Draco que ses amis valaient la peine d’être connu.
Pansy était, même si elle ne le montrait pas, d’une intelligence étonnante, seulement pas de la même façon qu’Hermione je-peux-répéter-tout-ce-que-tu-viens-de-dire-et-le-faire-à-l’envers-et-en-anglais Granger, mais à sa façon. Elle pouvait aussi être très curieuse et agaçante, mais de la même façon inquiète qu’Hermione.
Blaise, bien qu’il était très réservé et un peu vieux jeu, était tout à fait comme Ron quand on parlait des devoirs scolaire et de Quidditch, il détestait le premier et adorait le dernier. Il avait aussi une adoration pour les Canons de Chudley, comme l’avait découvert Harry tôt un samedi matin quand il était sorti de sa chambre pour trouver Blaise habillé d’un bas de pyjama orange vif dans la salle commune des serpentards, buvant un café. Blaise était aussi férocement loyal à Draco, ce qui réconfortait grandement Harry et l’agaçait en même temps.
Theodore, ou Theo comme Harry découvrit que tout le monde l’appelait, était une chose curieuse, comme Seamus Finnigan. Les deux garçons étaient de grand plaisantins, aimant attirer l’attention sur eux et avait une réputation de Casanova avec le sexe opposée, ou même parfois avec le même sexe. Il était aussi, impossible à réveiller le matin.
Harry découvrit qu’il s’entendait bien avec eux, riant et faisant des blagues. Il se demanda souvent si ça aurait été comme cela s’il avait été envoyé à Serpentard ou lieu de Gryffondor. Penser aux Gryffondors rappela à Harry qu’ils n’avaient pas encore attrapé le sale bâtard qui avait essayé de le tuer et avait tué Trelawney. Ça devait être un Gryffondor. Quelqu’un qui avait parlé avec Harry, qui savait qu’il aimait manger parfois dans les cuisines, qui savait qu’Harry connaissait quelques elfes de maison en qui il avait parfaitement confiance.
Snape avait pointé Ron, Hermione et même Ginny, ce qui avait irrité Harry. Oui, ils connaissaient ces informations sur Harry, mais ils étaient à un océan de distance ! Avec le recul, Harry se demanda ce qu’il y avait chez lui qui faisait que ses tantes et ses oncles le détestaient simplement parce qu’il était Harry Potter. Snape et sa tante Pétunia pourraient monter un club, se rencontrant tous les samedis et discutant de ce qu’ils détestaient le plus chez Harry. Cette pensée était vraiment déprimante.
Deux jours avant la rentrée scolaire, Dumbledore rappela à Harry, Sirius et Remus qu’ils avaient rendez-vous dans son bureau à midi. Recevant trois regards vides, le Directeur expliqua que le testament de Lily et James serait lu aujourd’hui.
Harry regarda ses tuteurs avec des sentiments mélangés. Il était heureux de finalement en apprendre davantage sur ses parents, mais triste pour la même raison. Dans un monde sans Voldemort et avec Lily et James Potter, Harry aurait été différent. Il aurait su qu’il était un vélane élémentaire, aurait su pour Snape et sa tante, tout ce qu’il n’avait pas su. Il n’aurait pas été d’une nature aussi forte et mature, il aurait été plus innocent. Mais il y avait une chose qu’il aurait toujours eue, Draco.
Chuck, le livre de Draco, leur avait dit que dans toute vie future, vie passé ou univers alternatif, leurs âmes auraient été liées l’un à l’autre. Il avait expliqué que même l’univers où ils vivaient maintenant, pouvait être le résultat de leur liaison dans un autre. Ça rassurait Harry que Draco pourrait l’aimer un jour et ça rassurait Draco que leur relation était véridique.
Draco avait eu peur qu’Harry devienne un Vélane Élémentaire soumis et qu’il perdre lentement son indépendance et sa liberté de penser avec les liens. Ce n’était pas le cas. Alors que les sentiments d’Harry pour Draco grandissaient, Harry n’avait pas peur de dire à Draco quand il avait tort. Alors Draco ne se gênait pas pour dire à Harry quand il était stupide, ce qui n’arrivait plus aussi souvent qu’avant.
Finalement, midi se pointa et les trois gryffondor laissèrent la salle commune des serpentards, où ils se relaxaient. Ses problèmes avec Draco résolu, pour le moment, Harry tourna son attention vers ses tuteurs. Par sa nature, il était un marieur et Harry avait reçu l’habilité pas seulement de voir les liens, mais de les différencier. Il y avait les liens familiaux, sanguin, d’amitié, amoureux et, comme lui et Draco, les liens d’âme sœur qui étaient les plus fort. Remus et Sirius partageaient un lien d’âme sœur, mais celui-ci disparaissait lentement à cause des années où ils avaient passés séparer. Même maintenant, que Sirius était libre, les deux hommes agissaient comme des adolescents l’un avec l’autre. Ça donnait l’envie à Harry de les jeter dans un placard à balai vide jusqu’à ce qu’ils se sautent dessus et s’embrasse à perdre haleine.
C’est ça ! pensa le Vélane alors qu’ils allaient vers les escaliers mouvant. Ils ont jusqu’à demain pour faire quelque chose sinon, j’interviens. La vue d’un lien en train de mourir était horrible pour un Vélane Élémentaire.
Dans le bureau, maintenant familier, de Dumbledore, se trouvait le directeur lui-même et un vieux gobelin qui se présenta comme Swifthelm. Harry découvrit pourquoi il avait l’air si vieux… il était vieux. Il s’occupait de la chambre forte des Potter depuis près de trois cent ans.
Tout le monde s’assit dans les chaises confortables que Dumbledore avait fait apparaître devant son bureau. Harry s’installa entre Sirius et Remus, Swifthelm à la place du directeur, plusieurs papiers empilés devant lui.
« Si tout le monde est présent, nous pouvons commencer. » dit Swifthelm, sa voix sifflait légèrement.
Toute le monde fut forcé de signer leurs noms complets, Dumbledore avait celui le plus long, sur beaucoup de document ayant l’air officiels avant que ceux-ci soient envoyé magiquement au ministère.
« M et Mme Potter ont demandé que leur fils, Harry soit mis sous la tutelle de Sirius Black ou, si pour une quelconque raison cette requête n’est pas possible, Albus Dumbledore. Est-ce que M Potter est sous la garde de l’un d’entre vous ? » demanda le gobelin.
Sirius hocha la tête. « Harry est sous la garde de Remus et de moi-même. Je suis son parrain et Remus était un ami très proche de la famille. »
Dumbledore regarda Swifthem. « Je me souvenais pas que j’étais aussi cité comme gardien convenable pour Harry. Il a été placé chez la sœur de sa mère et son époux jusqu’au début du mois.
Le gobelin fouilla dans quelques papiers, les sourcils froncés. « Non, non, non. Mme Potter a clairement laissé une note pour que son fils ne soit pas placé chez Mme Pétunia Dursley, dans le cas où elle mourait, mais chez vous ou chez M Black. Si ces deux choix n’étaient pas disponible, alors en ‘’dernier recours’’, Harry devait être placé avec M Lupin. »
Remus ferma les yeux. Il avait perdu tant d’année avec Harry, son louveteau, malgré qu’il ne soit pas de son sang, mais il allait se rattraper maintenant.
Dumbledore regarda gravement Harry. « Je m’excuse de ne pas avoir regardé plus attentivement. J’aurai pu vous épargniez beaucoup de chagrin. »
Harry approuva. Il n’était pas surprit que sa mère n’ai pas voulu qu’il soit placé chez les Dursley, mais c’était trop tard maintenant. Ce n’était pas bon de vive dans le passé.
Swifthelm sortit un morceau de parchemin miteux et regarda Dumbledore.
« J’aurais besoin de sept gouttes de sang de Harry, s’il-vous-plait. Au milieu du parchemin. »
Harry regarda avec confusion le gobelin. La magie du sang était illégale, ça lui avait été implanté dans la tête par le faux Maugrey en quatrième année. Avec le résultat à la fin de cette année-là de la renaissance de Voldemort grâce à son sang, il était vraiment peu disposé à laisser quelqu’un d’autre utiliser son sang.
En voyant le regard prudent d’Harry, Sirius expliqua. « Ton sang est plus unique que ta signature magique. Même le polynectar ne peut copier le sang d’une personne. C’est seulement une autre précaution utilisé par les familles de sang-pur. Sept gouttes parce que c’est un nombre magique. C’est la seul magie du sang encore légal. »
Harry se relaxa. Une piqure rapide avec la baguette de Dumbledore et sept gouttes plus tard, une écriture verte émeraude commença à se former sur le vieux parchemin.
Dernières volontés et testament de Lily Jade Potter et James Dominic Potter.
Bénéficiaires :
Seul héritier et fils : Harry James Potter
Autre : Sirius César Black, Remus Jacob Lupin, Albus W.B. Dumbledore
Représentant Gobelin : Swifthelm
Date : 30 aout 2005
Plusieurs autres formalités suivaient jusqu’à ce que le parchemin devienne rouge et or et que cinq pages se séparent du vieux parchemin.
Chacune étaient propre, blanche et d’apparence neuve, elles étaient adressé personnellement aux cinq occupants de la pièce. Swifthelm signa la sienne et l’estampa avec le sceau de sa bague qu’il portait sur une fine chaîne en or autour du cou, alors de nouvelle écriture apparurent sur les parchemins séparés.
Harry reçu, comme tous le pensaient, l’argent, les titres, les possessions et les propriétés des Potter. C’était beaucoup. Harry, en étant un descendant direct de Godric Gryffondor, héritait même d’un quart de Poudlard. Son papier disait que lorsque Godric mourut, il passa sa part du château, comme ses trois compagnons, au Directeur qui leurs succédait, qui deviens locataire, propriétaire et gardien de Poudlard, tout cela en une seule personne. Harry possédait une part du château, mais ne pouvait la revendiquer, mais il était en accord avec le principe.
Il était aussi vraiment riche, mais c’était quelque chose à quoi il s’attendait, son père venant d’une famille de sang-pur. Toutes les familles de sang-pur possédaient des coffres-forts spéciaux à Gringott avec les trésors familiaux à l’intérieur. Maintenant, il serait au courant de toutes les transactions bancaire et des stocks des Potter.
Sa mère avait laissé des informations sur son père, pas celui qu’Harry avait entendu sa tante appeler papa, mais son père Vélane Élémentaire, qui semblait être mort de nombreuses années avant la naissance d’Harry. Son nom était Halyn Farrell. Lui et sa sœur, Astrid, étaient les derniers d’une petite colonie de Vélane Élémentaire, avant que Halyn ne rencontre la grand-mère d’Harry, Juliet Evans, sa compagne. Elle était déjà mariée et avait un enfant, Pétunia, quand il était venu la réclamer comme son âme sœur. Ils avaient passé une nuit ensemble avant qu’elle retourne auprès de son mari, Halyn était mort d’un cœur brisé. Juliet découvrit qu’elle était enceinte et avait fait passer l’enfant pour celui de son mari, Philip.
« Alors, on peut dire que ça court dans ma famille, la maladie du si-c’est-bizarre-on-me-le-donne. Mon grand-père maternel est le seul Vélane Élémentaire qui est mort d’un cœur brisé. Je suis destiné à être anormal. » dit Harry après avoir lu les mots de sa mère.
Sirius avait reçu le manoir que James, Remus et lui-même avaient acheté quand ils étaient en formation pour être Auror et un accès au coffre des Potter pour ‘’prendre soin de Harry’’. James avait aussi laissé un journal à Sirius, avec toutes les blagues qu’ils avaient faites pour qu’il le mettre en sécurité. James voulait qu’il le transmettre plus tard à Harry.
Remus avait reçu une importante somme d’argent, ayant été renié après avoir été mordu, et James lui avait écrit que c’était parce qu’il le méritait. Il lui donnait aussi un cottage situé profondément dans la forêt, pour qu’il puisse se relaxer. Remus avait maintenant aussi accès à la bibliothèque des Potter à Gringott et avait hérité de plusieurs livres de défense contre les forces du mal. Un commentaire personnelle avait été laissé à la fin du parchemin des deux hommes, ce qui fit rougir Remus et rendit Sirius à la fois nostalgique et amusé.
La lecture du testament prit presque toute la journée et se termina dans la soirée. Harry eut de nombreux documents à lire et à signer avant qu’ils soient tous libérés.
Silencieusement, ils retournèrent à la salle commune des serpentards, qui était vide. Sirius et Remus allèrent directement au lit, en lui disant bonne nuit.
Harry entra dans sa chambre et alla directement vérifier celle de Draco. Cela avait été la plus longue journée sans voir son âme sœur, ayant manqué le souper.
Son côté Vélane soupira de soulagement quand il vit la tête aux cheveux de soie blond dépassé de sous les couvertures. Le Vélane en lui s’était inquiété toute la journée pour son âme sœur, encore plus que normalement parce que l’on avait tenté de le tuer. Si quelqu’un savait pour sa famille, la façon la plus facile pour le tuer était de s’en prendre à Draco. Harry mourra s’il perdait son lien avec lui.
Il avait le désir fou de se glisser dans le lit avec Draco, mais il secoua la tête et s’obligea à sortir. Draco n’était pas prêt pour cela, par l’enfer, Harry n’était pas prêt pour cela.
Après sa routine habituelle pour la nuit, Harry entra rapidement dans son lit et le sommeil l’attrapa. Bientôt, il devrait parler à Ron et Hermione de toute cette histoire. Du moins, il l’espérait.
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Toute la journée du premier septembre, Harry fut tendu. Hermione était plutôt ouverte sur ce qui venait du monde magique, une fois qu’elle en connaissait tous les aspects. Même chose pour tout ce qui venait du monde moldu. Ron, par contre, était presque l’opposé en tout point. Quand Seamus avait déclaré qu’il aimait les filles et les garçons, Ron avait évité l’irlandais pendant presque six mois.
Harry avait aussi vu la lueur dans les yeux de son meilleur ami pendant leur troisième année quand Hermione leur avait dit que Remus était un loup-garou. Ron avait regardé Remus comme s’il était un monstre. Les Weasley étaient peut-être ouvert aux moldus, mais ils restaient des sang-pur. Peu importe combien ils aimaient les moldus, aucun ne fut assez bien pour devenir un Weasley. Bill avait brisé son engagement avec Fleur après que Ron ait dévoilé qu’elle était en partie Vélane. Toute la famille avait dit que c’était parce qu’elle ne leur avait jamais dit elle-même, mais Harry et Hermione voyait cela différemment.
Il n’était pas le seul à être nerveux, Pansy prouva que finalement les serpentards avaient des nerfs et que ceux-ci pouvaient trembler. Les Serpentards pouvaient avoir de profondes émotions sous leur masque.
« Reste qui tu es et agit selon ta conscience Pansy » dit Harry avec un sourire tremblant. « Ceux pour qui cela a de l’importance on s’en fout, et ceux qui s’en foutront sont important. »
Draco regarda le Gryffondor. « Où as-tu entendu cela ? »
Harry sourit. « Hermione. Elle sort toujours des trucs comme cela. Elle pourrait écrire des cartes de vœux si elle n’était pas une si grande sorcière. »
Draco roula des yeux. « Bien sûr. Maintenant, pourquoi ne suis-tu pas ton propre conseil ? »
Harry ferma les yeux et soupira. « Parce ceux qui sont important s’inquiète habituellement. »
À l’heure du souper, Harry donna un dernier baiser à Draco avant d’aller attendre ses amis dans le hall d’entrée. Draco se renfrogna, mais alla avec ses amis s’asseoir à la table des serpentards dans la Grande Salle. Harry le verrai ce soir, Dumbledore leur avait montré un portrait de Merlin qui cachait un escalier qui donnait sur leurs chambres dans les cachots. C’était en bas de la tour gryffondor, alors Harry pourrait aller facilement de sa chambre à celle de ses amis.
Plus les minutes passaient, plus les nerfs d’Harry devenaient fous. La plupart des élèves allait regarder Harry et voir qu’il avait changé, ses deux meilleurs amis le remarqueraient même de loin. Ses cheveux se remarquaient clairement, les mèches blondes se détachaient comme des étoiles filantes dans sa chevelure noire habituelle, maintenant striée de mèche rouge foncé. Sa peau était pâle, presque brillante, sa cicatrice ne se voyait plus autant qu’auparavant, ses yeux étaient assombri d’inquiétude et n’étaient plus caché par ses horribles lunettes.
Il avait aussi grandi, d’après ce que Sirius lui avait dit, d’un bon huit ou neuf pouce pendant le dernier mois, son corps était toujours aussi mince mais plus musclé. Si Ron ne le remarquait pas, Hermione, elle, le remarquerait certainement.
Le professeur McGonagall sortit de son bureau et sourit à Harry. Presque tous les professeurs savaient pour la transformation d’Harry en vélane élémentaire et que Draco était son âme sœur. Le professeur McGonagall, étant sa directrice, lui avait parlé de la transformation de sa mère et le refus involontaire James au début. Elle lui avait aussi dit, en plaisantant à moitié, que ses nouveaux pouvoirs feraient bien de ne pas affecter les entraînements de Quidditch. Elle détesterait devoir trouver un autre attrapeur aussi bon que lui.
« Prêt Potter ? » demanda-t-elle et elle ouvrit la porte à l’acquiescement d’Harry.
Les étudiants commencèrent à entrer comme une vague d’eau noir, et presque aussi bruyamment. Beaucoup était des deuxièmes, troisièmes et quatrièmes années que Harry ne connaissait pas très bien, mais ils le saluèrent tous. Stupide charme vélane.
Ginny le vit et tira le bras d’Hermione en le pointant. La Gryffondor aux cheveux touffu lui fit un sourire radieux avant d’attraper ses deux compagnons et de se précipité vers lui.
« Harry ! C’est bon de te voir ! J’étais si inquiète ! Je ne peux pas croire que quelqu’un à tuer le professeur Trelawney alors que tu étais ici ! »
Hermione avait dit tout cela d’une voix hâtive pendant qu’elle tirait le Garçon-qui-a-survécu dans une étreinte serrée, emplissant sa bouche de ses cheveux alors qu’il essayait de répondre.
Ron la tira. « Laisse-le respirer Hermione. Tu ne veux pas le tuer n’est-ce pas ? »
Hermione se détacha et sourit. Elle était plus grande qu’avant et très bronzé. Ron et Ginny avaient plus de tâches de rousseur, si c’était possible, provoqué par les bains de soleil qu’ils avaient pris en Amérique.
« Ce n’était pas amusant sans toi mon gars. J’ai dû écouter ses deux-là parler de garçons. Ça m’a rendu fou ! »
Ginny frappa son frère sur le bras et étreignit Harry. Depuis qu’elle était passée par-dessus son amourette, en troisième année, Ginny n’était plus timide avec Harry. Elle était aussi, d’après ce qu’Harry avait entendu, en couple avec leur condisciple Dean Thomas.
« Il est seulement vexé que nous n’avons pas pu visiter de plage nudiste. La famille d’Hermione aime suivre les règles, tout comme elle. »
Hermione lui lança un regard noir. « Suivre les règles n’a jamais fait de mal. » dit-elle avant de se retourner vers Harry pour lui parler.
Harry lui sourit nerveusement alors qu’elle remarquait les différences entre le Harry qu’elle avait quitté et celui qui se tenait devant elle. Ron aussi le regardait.
« Wow, tu as vraiment grandi Harry ! T’es presque aussi grand que moi. »
Hermione plissa les yeux. « Ron, c’est presque huit pouces en deux mois, la plupart des garçons prennent ça en un an quand ils sont dans l’apogée de leur croissance. Tu n’as pas utilisé la magie pas vraie ? »
Hermione ressemblait à cet instant beaucoup à Mme Weasley quand Fred et George faisaient quelque chose qu’ils n’auraient pas dû, ce qui arrivait souvent.
Harry eut l’air insulté. « Non. C’est tout à moi. En quelque sorte. Je l’expliquerai plus tard. Allons au banquet ! »
Ron approuva. « Je suis affamé. Nous avons manqué le chariot de friandise parce que des nains se battaient. »
Hermione soupira. « Ron, ce ne sont pas des nains ! C’est des premières années ! »
Harry sourit alors qu’il s’assoyait à sa place habituelle. C’était bon que Ron et Hermione soient de retour.
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