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au 31 Mai 21 :
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Et si on recommençait?
Par Emarciss
Harry Potter  -  Romance/Humour  -  fr
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    Chapitre 1     Les chapitres     17 Reviews    
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Chapitre 1

Tout à J.K Rowling.

Sauf l’histoire.

Résumé :A cause d’une maladresse de Ron, et oui encore ! x) Hermione, Harry et lui se retrouvent dans un univers parallèle. Un autre Poudlard, sans Voldemort. On pourrait penser que c’est un rêve. Mais et si le rêve se révélait beaucoup trop traumatisant ?

6èmeannée, pour les besoins de l’intrigue, l’histoire commence au début du tome 6, les différences présentes sont que Rogue n’a pas encore fait de serments inviolables. Drago Malefoy n’est pas encore Mangemort, même si c’est programmé. Albus Dumbledore ne RISQUE PAS DE MOURIR A LA FIN.

Merci. Bonne lecture :).

Chapitre 1 : Weasley, la Gaffe

Hermione Granger, se dirigeait vers sa salle commune, les yeux encore dans le vague, et c’est sans doute pour cela qu’elle se cogna… dans le vide.

Et que ce vide grogna sourdement, et que Ron Weasley poussa un affreux juron.

« Ron, tais toi, elle va nous entendre » Chuchota Harry Potter.

Car oui, c’est à ce moment précis, qu’elle se rendit compte que devant elle, se trouvaient ses deux imbéciles de meilleurs amis, et qu’ils n’avaient rien à faire là.

Poussant un soupir agacé elle arracha d’un geste sec la cape d’invisibilité qui les enveloppait encore en ne cachant plus rien :

-          «  Sérieusement Harry, tu crois qu’avec tout le boucan que vous venez de faire, je ne vous aurez pas reconnu, c’est vrai que les gens ont l’habitude de se faire bousculer par le vide. D’ailleurs vous alliez ou comme ça ? Demanda t elle suspicieuse.

-          Nulle part, on avait juste envie de se dégourdir les jambes… Ron n’avait jamais été doué pour cacher des choses, et son mensonge était aussi voyant que s’il l’avait peint sur son front, il remarqua alors qu’elle souriait amusée, pas dupe du tout, et rajouta, honteux : Pourquoi ça t’intéresse ? Et toi tu étais ou ? Tu as quitté la Grande Salle si vite, et sans manger en plus ! Il avait soudain l’air beaucoup plus méfiant.

Et ce fut à elle de rougir, oui, c’est vrai qu’il ne pouvait pas savoir, et merlin merci. Qu’est ce qu’elle lui aurait dit hein ? Je n’ai rien pu manger, la façon dont tu suçais tes tomates cerises m’a coupé l’appétit, et j’ai du aller me ravitailler d’urgence aux cuisines par la suite ?

-          TU AVAIS RENDEZ VOUS ? Gronda t il. Surprise, elle se tourna vers lui, et vit qu’il était aussi rouge, sinon plus qu’elle. Et surement pas pour les mêmes raisons. Irritée elle lui répondit :

-          Je suis désolée Ron, mais non, je n’avais pas de rendez vous, j’avais une ronde de prévu, et je n’avais tout simplement pas faim. Je ne pense pas avec mon estomac. Moi.

-          Je…

-          Bon c’est bon vous avez fini ? C’était Harry qui avait parlé, irrité, et fatigué que ces deux amis en soient encore une fois arrivé à se disputer, et après, selon Hermione, c’était lui le gamin immature. Pffff. Il reprit : Et bien on s’en fout. Ron tu ne sais pas mentir, la prochaine fois regarde juste ou tu vas. Et Hermione bien que tu nous mentes, c’est urgent et tu ne me laisseras pas partir tant que je ne t’aurais rien dit. Donc… Il prit une grande inspiration avant de lâcher la Bombe. Rusard a récupéré la carte des maraudeurs, non ! Ne t’inquiètes pas, rajouta t il avant qu’elle n’ouvre la bouche, elle n’était pas activée, mais il l’a prise, et l’a surement ramenée dans son bureau. Tu comprends Mione, j’en ai besoin, et plus vite j’irais la récupérer, et moins il risque de la jeter dans une poubelle en croyant que ce n’est qu’un vulgaire bout de parchemin.

Harry avait raison, mais elle refusa de les laisser partir tous seuls, elle les guida donc, elle à découvert, eux sous la cape d’invisibilité, saluant quelques professeurs au passage, avant d’arriver devant la porte du bureau.

-          Alohomora, chuchota t elle. La porte s’ouvrit en un grincement, et si elle s’attendait à beaucoup de choses, ce n’était surement pas à cela.

Tous trois ouvraient des yeux ahuris devant le spectacle qui s’offrait à eux. Des centaines d’objets s’entassaient ça et là, dans un désordre harmonieux malgré tout. Cela devait résulter d’années d’espionnage, de confiscation de biens, et le résultat était là, devant son regard plus que curieux et ceux beaucoup plus avides, des deux garçons qui l’accompagnaient. C’est vrai que si on lui avait dit que le bureau de Rusard la ferait rêver, elle en aurait rit, mais voilà. Voir là, trois énormes casiers aux noms de Sirius Black, Remus Lupin, et James Potter la rendait plutôt nostalgique… Ah si seulement on pouvait sortir de là, de cette guerre. Harry lui aussi avait suivi son regard, et le sien, douloureux, restait plus longtemps accroché au casier de celui qui fut son parrain.

-          Harry, tu ne dois toucher à rien tu le sais. Allez viens, prends la carte et on s’en va.

-          Mais Hermione, on pourrait…

Elle lui fit un pauvre sourire, mais son regard restait ferme, alors il capitula. Attrapant le parchemin qui trainait sur la table, il le fourra dans sa poche d’un geste nonchalant et se dirigeait déjà vers la porte lorsque…

-          Hey Harry ! Regarde, on dirait le retourneur de temps d’Hermione, sauf qu’il est un peu plus grand, et a une forme plutôt bizarre.

-          Ron…

-          Mais si, Hermione, regarde il y a un bouton juste là et…

-           Ron, n’appuie surtout pas sur ce…

Trop tard. Dans un nuage de fumée bleue, ils se virent avec horreur disparaitre alors qu’une boule de lumière orangée leur fonçait droit en plein cœur.

                                                                                                                      Ah si seulement on pouvait sortir de là, de cette guerre. Harry lui aussi avait suivi son regard, etle sien, triste, restait plus longtemps accroché au casier de celui qui fut son parrain…

« Il rejeta sa tête en arrière, le vert de ses yeux assombrit de plaisir. Les doigts de la fille, une blonde étaient crochetés à son dos, et lui lacéraient la peau. L’obscurité jouait de façon obscène sur leurs deux corps, laissant deviner de façon délicieuse à quoi s’occupaient-ils en ce froid mois de Janvier, dans ce couloir sombre. Elle avait chaud, et ses gémissements se faisaient de plus en plus profonds, il était beau, et sa peau était tellement douce… Il lui reprit alors ses lèvres, rouges, avant qu’ils ne se perdent encore plus fort… »

Pensif, et le sourire légèrement lubrique, il fit disparaitre sa cigarette en même temps que ses pensées, resserra légèrement sa cravate et alla rejoindre son meilleur ami qui devait l’attendre depuis plus d’un quart d’heure près de la bibliothèque.

« Alors Potter, brune, blonde, ou rousse cette fois ci ? Lui susurra Drago Malefoy à l’oreille quand il alla se positionner à ses côtés. Il lui répondit par un sourire qui se voulait moqueur. Le silence s’installa peu à peu, mais il ne pouvait cacher la complicité qui liait les deux Serpents. Leurs épaules se touchaient presque, et ils se comprenaient sans le moindre geste.

Malefoy et Potter. Certains crièrent au scandale. Oh oui, beaucoup ne purent en croire leurs yeux lorsque pour la première fois depuis des générations, un Potter se retrouva à Serpentard, et qu’il se lia si facilement d’amitié avec le jeune Malefoy. Puis ils se calmèrent, les rumeurs s’estompèrent. Et ce devint tout à fait normal. Une habitude. Juste de celles qui s’imposent avec le temps.

                                                                                                                          

Hermione Granger fit claquer sa langue, signe de son mécontentement. Elle ne le supportait plus. Tranquillement installée à la bibliothèque pour réviser, en excellente Serdaigle qu’elle était. Elle n’était pas imbue d’elle-même, juste réaliste, elle était la meilleure. Mais pour cela, elle s’en donnait réellement les moyens. Et en ce moment, les alanguissements, gloussements, et autres marques d’affections qu’accordaient pratiquement toutes les filles présentes aux deux mâles adossés au mur d’en face commençaient sérieusement à l’agacer.

Enervée, elle poussa un énième soupir, avant d’essayer, sans aucune chance de réussite, elle le savait, de replonger dans sa dissertation « des grands Mages à travers les âges ». 

La chaise en face d’elle, racla le sol, et c’est sans surprise qu’elle vit, prendre place Pansy Parkinson. Peut être, et elle l’avouait à contre cœur, l’une des seules personnes qu’elle était en mesure d’apprécier.

-          Bonjour Hermione.

-          Salut Pans’

-          Pourquoi est ce que tu as l’air si dépressive, enfin, d’habitude tu es fatiguée, ou même extenuée, mais là, tu m’as l’air vexée plus qu’autre chose.

Elle lui lança un regard noir. Elle n’avait pas besoin qu’on lui rappelle les cernes violettes qui soulignaient ses yeux, ou même le fait qu’elle soit souvent obligée de prendre des potions masquant es, pour qu’on ne remarque pas son degré de fatigue ou combien son visage était terne. Mais Pansy était vraiment inquiète, et cela la touchait malgré tout. Alors elle lui répondit.

-          C’est ces deux bellâtres là bas. Toutes les FILLES se pâment pour un de leur soupir et…

-          Ce n’est pas pour un soupir qu’elles se pâment Mione…

-          Je disais donc, ils m’empêchent de travailler !

-          Ah, et bien tant mieux, je meure de faim, et tu viens avec moi !

-          Non, Pansy je…

Mais il était trop tard, une tornade brune, avait en deux minutes prit son sac d’une main, son bras de l’autre, et l’entrainait surement et fermement avec elle. Elle éclata d’un grand rire, et Hermione se surprit à sourire, timidement, amusée elle aussi.

                                                                                                                        

-          Ron-Ron est ce que tu as remarqué quelque chose de nouveau chez moi ? Parce que je serais très vexée si tu ne l’avais pas remarqué hein ? C’est siiii évident, et tu es mon petit ami. Ron ? Est-ce que tu m’écoute au moins ?

-          Hein ? Quoi ? Oh oui, Lavande, mon cœur, tu as tout à fait raison.

Elle renifla,  agacée qu’il ne lui porte que si peu d’intérêt, puis avisa sa haute silhouette, les deux fossettes qui apparaissaient quand il souriait, ses cheveux de feu, son regard d’azur, et toutes les filles qui le dévisageaient d’un œil appréciateur, et décida que finalement ce n’était pas bien grave. Après tout elle ne sortait pas avec lui pour sa conversation. Elle se retourna donc vers Parvati, pour lui faire remarquer la nouvelle couleur de son vernis à ongles.

Ron, lui, n’avait qu’une envie, détacher sa main de celle de Lavande Brown. Et s’enfuir en courant dans la direction opposée. Bon c’est vrai, Lavande était gentille, mais qu’est ce qu’elle était… « Chiante, collante, criarde, pleurnicheuse, on dirait presque que tu es collé à un poulpe avaleur de langue Weasley, sexy le poulpe, mais un poulpe quand même ». Il ricana, en repensant aux paroles de Zabini. Blaise, était un garçon que peu de gens appréciaient à Gryffondor, officiellement parce que c’était souvent un imbécile arrogant, qui aimait par-dessus tout embêter ses semblables. Officieusement, parce qu’il aurait du finir à Serpentard. Ron, lui, le trouvait reposant, drôle, bien que sarcastique et loyal en amitié. Bref, bien qu’étant un connard, Ron, lui, l’aimait bien.

Après ce monologue intérieur, fort (peu) instructif, car il était toujours dans une pénible situation, il essaya une fois de plus de détacher discrètement ses doigts de ceux de sa chère et tendre, il y était presque, « encore un peu allez… ». Voilà, plus qu’un doigt, et je…

BAM !

Tout à sa concentration, et Lavande à sa passionnante conversation, les deux jeunes gens n’avaient pas remarqué que quelqu’un, ou plutôt, deux personnes leur fonçait dessus à toute allure.

Il était étalé de tout son long par terre, et sa tête lui tournait douloureusement.

-          Hey tu vas bien ? Excuse nous, Pansy ne regarde pas souvent ou elle marche.

-          Hey ! Cria l’intéressée.

-          Pas si fort, grogna Ron. Il avait encore les yeux fermés, et c’est à ce moment là qu’il les ouvrit.

Magnifique. Ce fut le premier mot qui lui vint à l’esprit. Ses cheveux étaient ébouriffés, elle n’était pas maquillée, mais ses joues étaient d’un rose adorable, et ses beaux yeux chocolat étaient plissés, elle était comme inquiète ? Inquiète pour lui ? Fier de cette constatation, il commença à sourit béatement, et elle rougit, ahurie.

-          Pansy, je crois qu’il s’est cogné un peu trop fort, il ressemble à un imbécile heureux.

-          C’est un imbécile Hermione, c’est son petit copain, dit elle en pointant Lavande Brown du doigt. D’ailleurs Brown, sa te dirais de bouger ton gros cul, on aimerait passer. Et ramasse ton pote au passage.

 

N’ayant pas bien comprit ce qui venait de se passer, Ron vit juste, la main de « Hermione » ? se crisper brusquement sur son épaule, et bondir sur ses pieds, pour rejoindre son amie, sans plus un regard pour lui.

-          Alors tu es Ronald Weasley… C’est vrai qu’elle aurait pu s’en apercevoir plus tôt, mais elle n’avait pas vu en ce garçon mignon et souriant, l’imbécile de gardien de Gryffondor. Bien, je m’excuse encore de t’avoir bousculé. Je vais vous laisser maintenant. Bonne continuation. Brown. Fit-elle avec un léger signe de tête.

 

Peu conscient que Lavande le trainait dans la même direction qu’elles, vers la Grande Salle, la main sur son épaule, il se rendit juste compte désabusé, qu’elle lui paraissait beaucoup moins brulante que celle de la jeune Serdaigle qui semblait le détester de toutes ses forces.

 

                                                                                                                         

18h58, Grande Salle, Poudlard.

 

Drago Malefoy s’amusait. Cinquième clin d’œil, et cinquième fille qui tombait dans le même panneau, rougissante et lui lançant aussitôt un regard langoureux. Bon allez, je la fixe, elle s’en rend compte, et hop clin d’œil charmeur. Bingo ! En apparence impassible, il était prit intérieurement d’un fou rire monumental. Mais personne ne s’en rendit compte bien sur. Un Malefoy est irréprochable.

-          Bon tu arrêtes, et tu manges, elles vont finir par nous faire une crise cardiaque.

 

Il esquissa une moue ennuyée. Okay, presque personne.

-          Tu te crois peut être mieux, à passer pitoyablement ta main dans tes cheveux toutes les deux minutes Potter  ?

Touché. Harry grimaça, près à répondre, quand un bruit sourd se fit entendre…

Au même moment table de Serdaigle…

Hermione fulminait, elle détestait les sportifs, et encore plus celui là, goinfre, idiot, têtu comme une mule. Le pire, le pire, c’est qu’il lui avait plut. Si elle n’avait pas su qui elle était. Son sourire, ses cheveux qui partaient dans tous les sens, les muscles qu’elle avait senti rouler sous son pull, et ses yeux… Elle revivait l’instant encore et encore, non consciente que Pansy Parkinson la fixait. Tout d’abord étonné, puis amusée, et enfin au bord du fou rire. 

-          Hermione, chuchota t elle, tu fantasmes en dehors de ton dortoir, en fait je ne savais même pas que tu fantasmais dans ton dortoir, c’est donc notre petite entrevue de tout à l’heure qui te mets dans cet état ?

-          Oui.

Elle écarquilla les yeux d’horreur, se rendant compte de ses paroles, elle voulait nier, et puis voilà. Comme un aveu, le mot était sorti. Elle tourna rapidement la tête des deux côtés, s’assurant que personne ne l’avait entendue, rassurée, elle se retourna vers Pansy, qui la regardait ébahie. Perplexe.

-          Je…

Soudain un énorme fracas, les fit sursauter…

Table des Gryffondor…

Ron se laissa tomber sur le siège à côté de Blaise Zabini, encore sous le choc, de ce qui venait de se passer.

-          Weasley. Weasley ? Oho la terre appelle Ronnie ! Ron ron c’est Lav Lav mon amour ! Ron, Ron ? Bordel Ron répond moi !

-          Désolé vieux. Il se secoua la tête comme pour reprendre ses esprits et lui offrit un pauvre sourire.

-          Oula, il faut te réveiller, tu sais que si je ne te connaissais pas si bien, je dirais que t’es tombé amoureux…

Voyant que le visage de son ami se décomposait soudainement. Blaise pâlit.

-          Oh non, ne me dis pas qu’elle y est arrivée, tout ce que tu veux Ron, même une Serdaigle, égocentrique, prude et coincée, mais pas Lavande Brown !

Suivant son regard il vit qu’il l’avait légèrement promené sur la table des Serdaigles, s’arrêtant moins d’une minute sur une jeune fille, au regard rêveur, et aux joues roses.

-          A moins, fit il calculateur, que ce soit justement quelqu’un d’autre. Granger peut être lui dit il, d’une telle façon qu’il fut le seul à entendre. Oh mon dieu, Weasley, j’ai dis Serdaigle coincée, prude et égocentrique, t’en as choisi la reine. En plus elle te hait. T’es vraiment dans la merde.

Il voulut lui dire que non, il n’était pas dans la merde. Que non, elle ne lui plaisait pas. Mais il n’en eu pas le temps, au centre de la grande salle, trois silhouettes apparaissaient, légèrement brumeuses, puis de plus en plus nettes. Jusqu’à ce qu’une voix s’élève, furieuse.

-          MAIS TU ES VRAIMENT UN ABRUTI CONGENITAL RONALD BILLIUS WEASLEY. JE T AVAIS DIS DE NE PAS APPUYER SUR CE BOUTON !

 Voilaaaa, premier chapitre posté !

Dites moi ce que vous en pensez.

Bisous. Emarciss'

 
 
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