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au 31 Mai 21 :
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L'or, l'argent et le cristal.
Par haniPyanfar
Harry Potter  -  Romance/Général  -  fr
15 chapitres - Complète - Rating : T+ (16ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 2     Les chapitres     32 Reviews    
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Treize ans Merlin et Morgane, treize ans ....

                                         

                                         L’or, l’argent et le cristal.

Auteur : haniPyanfar  

Déclaration : Lieux, coutumes et personnages appartiennent à Madame J.K.Rowling et cette histoire ne me rapporte ni or, ni argent, ni même cristal. Dommage …  

Par contre, les enfants et leurs histoires sont à moi. J’ai bien dit que j’inventais une fin alternative. Sinon, où serait le challenge ?   

Rating : K+ …. Pour le moment … Je préviendrai en cas de changement.  

Couple : Devinez … A votre avis … Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? … Pour répondre à certaines demandes, je précise que cette fic parle bien à la base des relations entre les adultes, Harry, Draco et d’autres. Mais ces relations sont conditionnées par la présence et les réactions des enfants. Les deux parties sont donc développées simultanément.

A ce propos, si vous avez une observation, positive ou négative, à me faire sur l’évolution des personnages, faites-le sans hésitation. Je suis ouverte à toutes les critiques, bonnes ou mauvaises, et je vous en remercie par avance.  

Une petite review ne prend pas longtemps et ça fait tellement plaisir à l’auteur qui s’use, par pure bonté, les doigts et les yeux sur son clavier.  

                                                     OoOoOoOoOoO

                     Chapitre 2 : Treize ans ! Merlin et Morgane ! Treize ans …  

Ils s’étaient installés dans un compartiment vide et Jonathan avait sorti délicatement le serpent de son sac de toile. C’était un joli reptile d’environ trente centimètres,  aux écailles vertes avec des reflets dorés, plus claires sous le ventre. Sa tête triangulaire était fine et portait trois grosses écailles d’un  noir bleuté.

  Il s’allongea  confortablement le long du bras que Jonathan avait posé sur sa cuisse. Rosalba et Xavier le regardaient avec admiration. Mais en bons connaisseurs des animaux, ils ne le touchèrent pas. C’était au serpent de leur faire signe en premier.  

Ils essayèrent d’apprendre son nom exact mais il n’était pas donné à tout le monde de parler le Fourchelangue. Jonathan fut le plus performant. Il réussit à siffler :  «  SsssS Suiz  … »  Son mince compagnon parut s’en contenter. Il posa sa tête sur la main ouverte, ferma les yeux et s’endormit.  

«  Comment l’as-tu trouvé ?  demanda Xavier.   

-- C’est toute une histoire. C’est grâce à lui que j’ai découvert mon statut de sorcier. 

-- Tes parents ne t’avaient rien dit ?  

-- Non. Ma mère n’est pas sorcière. Seul, mon père est sorcier. Mais depuis son arrivée en Amérique, il avait abandonné le monde magique. Il m’a tout révélé quand mes dons se sont manifestés, à cause de SsssS Suiz justement.  

-- Raconte - nous, si tu veux, bien sûr, dit Rosalba.  

-- Hé bien voilà. J’avais huit ans et je me promenais dans un parc avec ma mère quand j’ai vu trois grands garçons qui riaient et semblaient beaucoup s’amuser. L’un d’eux avait une longue baguette et frappait quelque chose qui se trouvait sur le sol.   Je me suis approché et j’ai vu qu’ils tourmentaient une pauvre bête qui se tordait sous les coups. L’un d’eux a ramassé une grosse pierre et s’apprêtait à l’écraser.

Je ne sais pas exactement comment ça s’est passé. La colère m’a pris. Je me suis précipité sur eux.  Je ne sentais pas ma force. Je les ai repoussés avec mes mains et c’était comme dans les films d’action. Ils ont été projetés assez loin. Ils sont tombés les uns sur les autres. Quand ils se sont relevés, ils m’ont regardé comme si j’étais le diable et ils se sont sauvés à toute vitesse. Je me suis penché et j’ai ramassé un malheureux serpent qui tremblait et saignait. Il n’avait même plus la force de se débattre. Ma mère n’a rien dit, elle avait l’air choquée.  Quand on est rentré à la maison,  elle a prévenu mon père.

   -- Pourquoi ? Tu n’avais rien fait de mal !  

-- Non, mais elle avait compris que j’avais, comme lui, quelque chose de particulier. Il m’a révélé à ce moment-là qu’il était sorcier et que j’avais hérité de ses dons. Ma mère étant Moldue, il ne pouvait  pas savoir  à l’avance si j’étais comme elle ou comme lui. Alors il n’avait rien dit. Il attendait un signe de ma part. 

Il était très heureux de cette révélation. Il m’a serré dans ses bras plus fort qu’il ne l’avait jamais fait avant. Je crois même que j’ai vu des larmes dans ses yeux. Mais je n’en suis pas sûr parce qu’il dit toujours qu’un Malfoy ne pleure pas. Il a pris le serpent dans ses mains, il l’a caressé tout doucement et ses blessures se sont refermées. Quand il me l’a redonné, il m’a dit :  « Prends-en soin. C’est l’emblème de ma Maison. » A partir de ce moment, je suis allé vivre chez lui et il m’a tout expliqué.  

-- Tes parents n’habitaient pas ensemble ? …Oh ! Pardon, je suis indiscrète.  

-- Ce n’est rien. Mes parents ont divorcé quand j’avais cinq ans.  Ils avaient une  … incompatibilité de sentiments. Je ne sais pas exactement ce que cela veut dire. Ma mère m’a dit que je comprendrais quand je serais plus âgé. Ils sont quand même restés bons amis. Ma mère s’est remariée mais mon père est resté seul. Il s’est occupé de moi et quand j’ai eu dix ans, il a décidé de rentrer dans son pays, en Angleterre, pour que je puisse aller à Poudlard. Il a racheté le château de sa famille. Il est en train de le réaménager. Les travaux seront  terminés pour Noël.   

Tu as de la chance, dit-il en se tournant vers Xavier. Tu as une famille qui t’aime. Moi aussi, j’ai un petit frère et une petite sœur mais je ne les vois qu’aux vacances. Ils vivent avec ma mère et son nouveau mari. Lui a un fils de mon âge de son premier mariage. Il s’appelle Marty  mais il n’est  presque jamais à la maison quand moi, j’y suis. Il va chez sa mère.  

Son père ne m’aime pas. Il m’a même traité de monstre un jour où nous étions seuls. Il défend à ses enfants de jouer avec moi parce que je risque de les contaminer si je suis comme mon père. Je ne comprends pas ce qu’il veut dire par là. Etre sorcier, ce n’est pas une maladie. J’aimerais avoir une grande sœur comme toi, Rosal, tu permets que je t’appelle Rosal … ou Rosie si tu préfères. Appelez-moi Jon, c’est plus simple.  

-- Rosal, ça me va. Mon cousin, c’est Xav. Ma mère voulait que je porte un nom de fleur, comme toutes les filles dans la famille de ma grand-mère Evans. Elle avait choisi « Rose ». Mon père avait choisi un nom de garçon, Albus. C’est celui d’un ancien directeur de Poudlard. Finalement, ça a donné Rosalba. 

Moi aussi j’aurais bien aimé avoir un petit frère mais ma mère est morte quand j’avais cinq ans alors qu’elle était enceinte. Une histoire d’inconta …d’incomba … d’incompa …ti … bilité sanguine, d’après ce que je sais. C’est le même mot que toi.   Ma mère pouvait avoir un enfant avec mon père mais une deuxième grossesse l’a rendue très  malade. C’est assez rare et personne ne s’en était aperçu à Sainte Mangouste. C’est l’hôpital sorcier de Londres. Mon père aussi est resté seul.  

-- Nous avons beaucoup de points en commun finalement. Nous sommes enfants uniques et nous avons été élevés par nos pères.  

-- Oh mais nous avons failli ne pas nous connaître. Je devais naître en janvier mais j’ai fait une surprise à mes parents. Je suis venue au monde en avance, juste pour fêter le dernier jour de l’année.  

-- Comment ? Mais ce n’est pas possible. Moi aussi je suis né le 31 décembre ! Nous sommes jumeaux !!! »  

Ils se regardaient avec chacun un grand sourire sur le visage. Xavier eut l’air vexé.  

«  Et moi alors, je ne compte plus ? Je suis ton cousin germain, tout de même !  

-- Tu es plus que ça, Xav, tu le sais bien. Tu es mon  frère, mon si gentil et si sérieux grand frère. Lui est né en juillet, précisa-t-elle à  Jonathan. Où est-ce que je vais quand mon père part jouer au Quidditch dans le monde entier ? Chez mamie Molly ou chez toi, n’est-ce pas ? Enfin cette année, papa voyagera moins puisqu’il va travailler au Ministère de la Magie. »  

Le train roulait dans la campagne.  Le temps passait. Ils discutaient tous les trois comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Vingt ans après la rencontre de Harry, Ron et Hermione, un nouveau trio d’inséparables se formait. Plusieurs jeunes élèves passaient dans le couloir. A la vue du serpent toujours endormi sur le bras de Jonathan, leurs réactions étaient diverses. Un garçon et une fille poussèrent la porte et demandèrent s’ils pouvaient entrer. Ils se présentèrent.  

«  Dimitrius Nott.  

-- Eléanore Finnigan – Lovegood. »  

D’autres s’enfuyaient, Clarissa Finch-Fletchley par exemple et aussi Laetitia Zabini qui poussa des cris d’orfraie. Le chariot des friandises passa. Ils firent une grosse provision de bonbons de toutes sortes. Jonathan ne connaissait ni les chocogrenouilles ni les dragées de Bertie Crochue. Il y eut des éclats de rire quand il tomba sur un bonbon vert qu’il prit pour de la menthe et qui se révéla être au goût d’épinards.  Ils en vinrent à parler des fournitures scolaires qu’ils avaient achetées sur le Chemin de Traverse.

Rosalba sortit sa baguette magique d’une poche de sa veste. Elle expliqua fièrement que la baguette l’avait choisie en sautant directement dans sa main.   Elle fit un geste rapide et une gerbe d’étincelles rouges et or jaillit de son extrémité. Les autres essayèrent d’en faire autant avec leur propre baguette mais il y eut peu de résultat. Seul Xavier fit sortir deux ou trois étincelles qui s’éteignirent rapidement.  

Jonathan montra sa baguette qui ne produisit rien. Il expliqua qu’il en aurait bientôt une autre, en bois d’aubépine, que son père avait commandée spécialement pour lui chez Ollivander.  

« En aubépine, dit Rosalba d’un air étonné, comme la mienne ? Comment sait-il qu’elle te conviendra ?  

-- Dans la famille de mon père, tous les garçons ont une baguette en aubépine.  

-- Dans ce cas, essaye la mienne, pour voir. »   

Elle lui tendit le mince morceau de bois qui avait tant de pouvoirs dans le monde sorcier. Il le prit délicatement. Rosalba avait déjà remarqué qu’il avait des mouvements très doux. Il fit le même geste qu’elle et une magnifique gerbe d’étincelles vertes et argent jaillit de la pointe et illumina tout le compartiment.  

Le soir, à la répartition, Jonathan et Dimitrius furent envoyés à Serpentard, Rosalba et Clarissa à Griffondor, Romulus et Laetitia  à Pouffsouffle, Xavier et Eléanore à Serdaigle.  

                                               OoOoOoOoOoO  

Draco Malfoy avait rendez-vous dans un bar moldu avec son ancien camarade de Maison, Théodore Nott. Celui-ci n’avait pas été inquiété à la fin de la guerre. Comme plusieurs autres Serpentards, il avait rejoint les Forces du Bien avant la bataille finale. Mais son père Mangemort avait été condamné à finir ses jours à Azkaban. Il y était mort deux ans plus tard sans avoir manifesté le moindre regret. Une grosse partie de sa fortune et son manoir avaient été confisqués, ce qui était aussi le cas pour tous les serviteurs de Lord Voldemort.   

Avec ce qu’il avait pu sauver, Théodore avait racheté une petite imprimerie et il l’avait fait prospérer. Il éditait et imprimait de nombreux ouvrages qui avaient beaucoup de succès :  les livres de Gilderoy Lockard par exemple et des romans à l’eau de rose pour les sorcières d’un certain âge, des récits de voyage, des guides de vulgarisation scientifique consacrés aux inventions magiques ou moldues, des manuels scolaires et des abécédaires pour jeunes enfants sorciers et bien sûr, de nombreuses biographies.

   Tous les ans, il sortait au moins un livre qui parlait de Harry Potter. Les gens en étaient friands, même si tout et n’importe quoi avait été dit sur lui. Au début, on avait révélé son enfance malheureuse et glorifié son combat contre le Lord Noir mais maintenant, on s’intéressait surtout à sa carrière d’attrapeur.

Le dernier était un album de photographies sorcières montrant diverses figures de Quidditch. Il était vendu au profit d’une œuvre caritative. On n’appelait plus Potter le Survivant ou Celui qui a vaincu mais La Main de Merlin ou La Fusée d’or ou d’autres vocables plus ou moins stupides. L’intéressé s’en moquait comme de son premier balai.  

Théodore était donc la personne rêvée pour Draco Malfoy qui cherchait des renseignements sur le nouvel Harry Potter. L’ancien Serpentard arriva tout souriant et complimenta Draco sur sa forme. Il était vraiment heureux de revoir son camarade de classe et parla avec enthousiasme de leurs deux fils qui s’étaient retrouvés à Serpentard.   

«  Ils sont déjà très amis, dit-il. Le serpent de ton fils est devenu la mascotte de notre Maison. Mais l’ambiance à Poudlard est bien meilleure qu’à notre époque. Dimitrius me parle souvent dans ses lettres de la fille de Potter et du fils de ceux que tu appelais jadis la Belette et la Sang de Bourbe. Ces mots n’ont plus cours et c’est tant mieux. Nous étions très bêtes à l’époque.  

-- J’ETAIS  très bête et je vous entraînais tous. Mais dis-moi, LUI, qu’est-il devenu ?   

-- Tu veux la vérité, je suppose, pas le bla-bla habituel ?    

-- Oui. Je l’ai revu à King’s Cross et ça m’a fait un choc. Il a beaucoup changé.  

-- Oui, et il n’a pas eu que de la chance. Tu sais pour sa femme, Ginny Weasley ?   

-- Non. J’ai seulement appris qu’elle devait épouser Potter juste après avoir terminé sa septième année d’école. Nous étions aux Etats-Unis et nous vivions comme les Moldus. Mon père avait coupé les ponts avec l’Angleterre.  

-- Ce que je vais te dire ne trahit aucun secret. Sorcière Hebdo en a fait ses choux gras à l’époque. Après la bataille, Potter est resté six mois dans une sorte de coma. Peu après son réveil, ce journal a annoncé ses fiançailles avec la petite Weasley. D’après ce que je sais, c’était prématuré, rien n’avait encore été décidé. Mais tu connais l’avidité des journalistes people pour tout ce qui concerne le Survivant.   

Cependant, la nouvelle a été confirmée quelque temps après et le mariage a été célébré l’été suivant,  quand Ginny a eu terminé ses études. Puis leur fille Rosalba est née. Ils étaient très heureux, leur bonheur faisait la une des journaux. Potter venait  de rejoindre les Chevaliers de Larquebuz. C’était une petite équipe à ce moment-là mais par la suite, grâce à lui, c’est devenu une des meilleures équipes d’Angleterre.   

C’est alors que les choses se sont gâtées. Potter était souvent en déplacement. Tu sais ce que c’est que le sport de haut niveau. Sa femme était seule et, paraît-il, très jalouse. Pourtant, il n’y avait rien à dire. Tu connais Potter et sa loyauté. Elle l’espionnait et lui faisait des reproches, parfois même en public. Leurs relations se sont dégradées. Il a même été question de divorce. Puis il y a eu cet épisode très douloureux pour eux tous.  

Leur fille allait avoir cinq ans quand la femme de Potter fut de nouveau enceinte. Il y avait donc une accalmie dans le couple. Ce que tous ignoraient, c’était que cette nouvelle grossesse allait déclencher une maladie irréversible. Je te passe les détails mais Ginny mourut quelque temps plus tard, laissant sa gamine orpheline et Potter de nouveau frappé par le malheur. Tout le monde pensait qu’il ne se remettrait pas de ce nouveau deuil mais il a trouvé la consolation et le réconfort dans le Quidditch. 

Il est resté seul. Pourtant ce ne sont pas les occasions qui lui ont manqué. Les filles sont toutes folles de lui. C’est vrai qu’il est beau gosse. Mais il n’a eu à ma connaissance aucune aventure durable. Quelques coups ici ou là, pendant ses déplacements à l’étranger peut-être. Mais c’est tout. Le Quidditch et sa fille, il n’a rien d’autre.

Il adore sa gamine qui est copine avec nos fils d’ailleurs. Elle est, paraît-il, très amusante mais aussi  tête-de-bois que son père à notre époque. Elle régente tout son petit monde. Il faut dire qu’elle est très jolie, adorable même. Qu’en penses-tu ?   

-- Jolie, intelligente, volontaire, c’est tout à fait ça. Merci pour tous ces renseignements.  

-- A propos, pourquoi m’as-tu questionné sur les Potter ? Tu n’as pas l’intention de leur pourrir la vie, comme autrefois ?     

-- Certainement pas. Je tenais juste à me mettre au courant de tous les changements survenus en treize ans. »   

Ils bavardèrent encore un peu et quand ils se quittèrent, Théodore Nott regarda songeusement partir son ancien camarade d’école. «  Tous les changements ? Mais nous n’avons parlé que de Potter. T‘intéresserait-il particulièrement ?  

« Sorcière Hebdo, pensait Draco en rentrant chez lui, c’est dans ce torchon que j’ai lu l’annonce de son prochain mariage … C’est ce qui m’a décidé à … obéir à mon père et à m’intéresser à Mélanie … Le cours de la vie tient à peu de choses … Rien qu’une malheureuse coïncidence … Enfin, pas si malheureuse … J’ai un fils et il me ressemble … Que demander de plus … »

Mais cette réflexion avait un arrière goût d’amertume.   

 

 
 
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