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au 31 Mai 21 :
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Les lèvres bleuies
Auteur inconnu
Harry Potter  -  Romance/Drame  -  fr
11 chapitres - Rating : K+ (10ans et plus) Télécharger en PDF Exporter la fiction
    Chapitre 11     Les chapitres     34 Reviews    
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Chapitre 11

Disclaimer: Si vous êtes anglaise, blonde, riche et si vous vous appelez JK Rowling, veuillez me pardonner pour vous avoir emprunté vos personnages et de les avoir massacré avec ma plume indélicate. Je tenterai de les remettre en état après cette ébauche de texte...

Avertissement: Si vous êtes particulièrement crétin, mou du cerveau, petit d'esprit, si vous n'avez pas vu les signes PG-12, Slash et UA avant de venir ici, si vous ne supportez pas l'idée que deux hommes puissent faire autre chose ensemble qu'une partie de foot et si vous êtes homophobes, veuillez contacter d'urgence le poste de police le plus proche en appuyant sur la crois rouge au coin supérieur droit de votre écran..

Note de la gribouilleuse: Bonjour à tous.

 Non non, gardez les tomates pour plus tard. J’ai une bonne explication pour ce retard impardonnable, comme toujours me direz-vous. Je suis maintenant en immersion linguistique en Finlande depuis peu de temps et je n’avais plus vraiment la tête à écrire. Maintenant que je fais overdose de finnois, je me remets à avoir besoin d’une bonne dose de français. Donc un chapitre tout frais pour vous ! 

J’espère que vous ne m’aurez pas lâchée en cours de route, parce que je sais que la cote des Drarry est en baisse et ça m’a vraiment manqué d’avoir de vos nouvelles. Allez, bonne lecture à tous ! Je parie que c’est le premier chapitre de fic finlandais que vous lisez de toute votre vie ! 

Enjoy !    

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   Chapitre 11

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Luna était une personne unique au monde. Fière de ses opinions, elle se plaisait à aller jusqu’au bout de celles-ci, quitte à finir par se rendre compte au bout d’un moment qu’elle avait tort. Il y a de cela dix ans, elle avait du se résoudre après des milliers d’heures à observer le ciel à accepter le fait que la Terre n’était pas encore sujette à une invasion d’extraterrestre. Elle devait aujourd’hui s’avouer que sa théorie était alors un peu trop fantaisiste, sortant des déboires d’une adolescente un peu trop rêveuse.  

Mais la jeune fille avait bien grandi, et s’était actuellement trouvé une nouvelle lubie : prouver que les recherches de son père étaient fondées et réussir le miracle  de trouver une explication, voire un remède à la maladie des enfants de la neige. Alors bien que le labeur soit assez dur, c’est avec détermination et précision qu’elle analysait tous les jours les constantes des deux patients de l’hôpital. Elle en était sûre ; un jour elle prouverait que la cause était génétique, quoiqu’en disent ses pairs

« Bonjour, Aylee-Rose, comment vas-tu aujourd’hui ? entama joyeusement Luna. » 

 L’enfant ne lui répondit que par quelques balbutiements inaudibles et c’est la mère de celle-ci qui traduisit l’état de fatigue de la petite. Luna l’aurait facilement deviné à la vue des joues pâles de Aylee-Rose, mais posait toujours la question par politesse. De plus, les réponses ne différaient guère de jours en jours. La fillette était fatiguée, et cela ne faisait certainement que commencer.  

« On va changer ta perfusion, mademoiselle, et après on fera quelques examens, d’accord ? »  

Aylee-Rose ne broncha pas à cette annonce. N’ayant grandi qu’à l’hôpital, pratiquement, elle était devenue une habituée des piqûres et des examens. Elle savait que la perfusion lui donnait des forces et calmait la douleur et que les analyses faisaient plaisir à ses parents. Elle aurait été idiote de refuser, et cela serait surtout vain.   Pour être franche, Luna aurait préférée que l’enfant se débatte, hurle à tout va pour échapper à son emprise. Un enfant qui ne proteste plus n’est pas vraiment un enfant. Mais Luna savait également qu’elle faisait ça pour que la fillette ait un jour la chance de grandir normalement. La fin justifiait les moyens.   

«  Médicomage Lovegood, intervint une voix sèche. Que faites-vous dans la chambre de cette patiente ? Ne vous avais-je pas ordonné de vous occuper des dossiers ce matin ?  

- Si, Mrs Granger. Mais la perfusion de la patiente devait être changée et...  - Et les infirmières s’en seraient très bien chargées elles-mêmes, coupa la médicomage en chef. Maintenant, veuillez sortir de cette chambre. »  

Luna s’exécuta sans broncher, sachant pertinemment que si elle voulait réussir son stage, il valait mieux ne pas fâcher sa supérieure.  Cette dernière la suivit hors de la salle et claqua violemment la porte derrières elles deux. Cela sonna tel un glas aux oreilles de l’interne, qui déglutit difficilement. Le sermon allait réellement commencer, hors des oreilles indiscrètes.  

 «  Mrs Lovegood, puis-je savoir la réelle raison de votre présence plus qu’incessante auprès de cette enfant ?  

- Je voulais prélever des échantillons de sang, avoua Luna à mi-voix.  

- J’espère pour vous que ce n’est pas encore une de vos fameuses histoires de génétique ? »  

L’interne ne prit pas la peine de répondre, sachant que Granger connaissait déjà la réponse. Luna se contenta donc de baisser la tête et fixa la pointe de ses chaussures, attendant les réprimandes auxquelles elle n’était que trop habituée. Dans les poches de sa veste blanche, les jointures de ses doigts se blanchissaient, tandis que ces derniers se crispaient autour des maigres échantillons qu’elle avait tout de même eu le temps de récupérer.   

« Je suis déçue, Mrs Lovegood. Je vous avais pourtant prévenue que ce n’était pas votre boulot. Cette enfant subit déjà assez d’interventions sans que vous n’ayez à en ajouter des supplémentaires ! Savez-vous seulement le prix que doit dépenser ses parents pour ses soins ?   

- Je prends tout à ma charge, bien évidemment ! tenta de se défendre l’interne.  

- Peu m’importe, tonna la femme. Je ne veux plus vous voir intervenir dans de quelconques recherches scientifiques illégales durant vos heures de service ! »  

Luna ne sut pas si elle devait se sentir honteuse de s’être faite prendre ou fâchée d’avoir été coupée dans ses expérimentations. Quoiqu’il en soit, ses joues s’empourprèrent violemment et elle résista un instant à fondre en larmes. Elle détestait être remise à sa place, surtout lorsqu’il s’agissait d’un sujet qui lui tenait tant à cœur. Elle allait partir, la queue entre les jambes, quand sa supérieure ajouta, avec un sourire à peine remarquable :  

« J’ai dit pendant vos heures de service, Mrs Lovegood. A vous de gérer vos heures supplémentaires comme vous l’entendez. » 

 Luna crut avoir mal entendu et lança un regard circonspect à Hermione Granger. Celle-ci ne daigna pas répéter ses dires pour les confirmer, pas même lui lancer un sourire complices. Le regard appuyé, elle fit simplement :  

« Et arrêtez de serrer les échantillons dans vos poches, vous risqueriez de briser les éprouvettes. Ce serait dommage de gâcher le fruit de tant de risques, n’est-ce pas ? »  

Luna se demanda alors si la théorie qu’elle avait défendue durant son adolescence ne se révélait pas être juste. La Hermione Granger stricte et sans coeur qu’elle connaissait devait avoir été possédée par des extraterrestres ce matin au réveil. Il n’y avait pas d’autres explications possibles...  

Alors, chérissant au possible l’éprouvette de sang dans sa poche, Luna laissa échapper un sourire. En effet, pensa-t-elle, ce serait dommage...

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De toute sa carrière, Drago Malefoy ne s’était jamais présenté en état d’ivresse à son travail. Mais aujourd’hui, en apprenant que l’état du petit Côme s’était encore dégradé, il avait décidé que c’était le jour où jamais pour changer ses habitudes. C’est donc légèrement titubant qu’il s’était rendu au chevet du petit garçon, se retenant aux barreaux du lit pour garder un semblant d’équilibre.

 Drago s’était pourtant juré, ces derniers temps, de se séparer de sa compagne préférée : la bouteille. Le problème était, avec le jeune médicomage, que toutes ses bonnes résolutions fondaient aussi vite que neige au soleil. Et ces derniers temps, il devait bien s’avouer qu’il faisait une chaleur ardente dans son cerveau. Le scénario qu’il avait connu en Angleterre se répétait à nouveau. 

Les anges ne meurent jamais, Libbie… 

Sauf que dans ce cas-ci, personne n’était là pour abréger les souffrances de l’enfant, comme son père était accusé de l’avoir fait quelques mois auparavant. Sous les effets de l’alcool, il se demanda un instant si son devoir n’était pas de suivre l’exemple paternel, avant qu’un restant de bonne conscience le dissuade de cette idée. Il aurait pourtant été si facile de tout débrancher. 

Le bruit incessant des bips des machines, au rythme du cœur du garçon finirent par donner le tournis à Drago, et il se résolut enfin à quitter la pièce. Les embruns d’alcool s’effaçaient peu à peu de son corps, et le besoin d’un nouveau verre se faisait ardemment ressentir. Le dilemme était de taille cette fois : Hydromel ou Bièreaubeurre ?  

C’est sans vraiment s’en rendre compte qu’il arriva dans le hall d’entrée de l’hôpital, les yeux dans le vague. Il ne pensait dès lors plus à rien d’autre qu’à soulager ce nœud au fond de son ventre par une bonne rasade dorée. Aucune chirurgie ne pouvait rien contre ce genre de douleurs. Même la greffe d’un nouveau cœur, ne l’aurait pas apaisé. L’alcool était alors le meilleur des baumes, et il se délectait déjà de s’en enduire. Malheureusement pour lui, la jeune secrétaire à l’entrée –Drago l’avait toujours détestée- ne comptait pas le laisser fuir sans une dernière recommandation :  

« Je ne dirai rien cette fois, Mr Malefoy. Vous savez que je vous apprécie beaucoup, dit-elle en accompagnant ses dires d’un sourire séducteur. Mais tâchez de ne plus revenir dans cet hôpital dans un tel état, sinon je serai obligée d’en avertir le directeur… » 

Drago se demanda un instant s’il n’aurait pas préféré, au contraire, qu’elle appelle quelqu’un. L’envie que quelqu’un sache le prenait quelques fois quand les problèmes des enfants le dépassaient, mais sa fierté l’en empêchait irrémédiablement. Et l’alcool finissait toujours de couler dans ses veines. Le médicomage haït Lavande Brown pour sa clairvoyance à cet instant, et décida alors qu’il ferait tout pour que la femme paie le prix de son insolence. Il ravala un sourire sardonique et poursuivit sa route. La vengeance usurpait si facilement la place de l’alcool dans la course à la guérison.

A cette idée, Drago se sentit étrangement mieux... L’alcool pouvait attendre.

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Tous les Malefoy avaient au fond d’eux un côté de salaud notoire. Drago Malefoy, en digne héritier, ne serait définitivement pas l’exception à cette règle ancestrale. Il avait passé une nuit amère, à décuver et à planifier sa douce vengeance. Personne ne pouvait laisser sous-entendre qu’il était un alcoolique sans en payer les conséquences. 

Personne. 

C’est pourquoi, c’est avec un sourire angélique, ce jour-là, qu’il salua la jeune Lavande derrière son bureau avant de la remercier de n’avoir rien laissé filtrer hier soir. Drago fut tellement convainquant qu’il aurait pu juré avoir vu la stupide secrétaire rougir sous l’assaut de ses compliments. Le médicomage lui promis haut et fort qu’il ne recommencerait plus, et que la bonne volonté de la femme serait récompensée. Lavande Brown eut tout juste le temps de s’imaginer au bras du médicomage, une bague de fiançailles à la main, avant que celui-ci ne s’en aille vaquer à ses occupations. Le mariage du siècle n'était pas pour aujourd'hui.

Quelques heures plus tard, alors que l’heure des visites battait son plein et que la jeune femme attendait avec vigueur une lettre de son cher et tendre Seamus –Le mariage onirique avec Drago Malefoy n’avait été qu’un fantasme passager-, celle-ci fut appelée dans le bureau du directeur de l’hôpital, le très respecté Albus Dumbledore. 

C’est donc au rythme de son cœur battant la chamade que ses talons résonnèrent dans le couloir le plus convoité de l’hôpital. Ses mains moites ouvrirent la porte blanche incrustée de lettres dorées et tout son corps frôla la syncope en voyant assis autour d’une même table ces messieurs Dumbledore et Malefoy, sirotant un thé encore fumant. Lavande les salua d’un bonjour emprunté et attendit un signe de leur part avant de s’asseoir à son tour. 

« Merci Merlin pour cette promotion, se dit-elle au comble du bonheur. 

- Madame Brown, vous êtes renvoyée, lui répondit en écho le vénéré directeur. » 

C’est  à ce moment précis que le ciel tomba sur la tête de cette pauvre Lavande Brown. Elle bégaya quelques balbutiements inaudibles qu’elle-même ne comprenait pas, écarquilla les yeux, et finalement explosa de rire. Quelle bonne blague ils lui faisaient là ! A en juger par le regard plissé de Albus Dumbledore et l’air satisfait de Drago Malefoy, aucun d’entre eux ne plaisantait. Lavande ravala son sourire et ses larmes en même temps, demandant des réponses à ses questions informulées. 

« Je vous demande pardon ? finit-elle par prononcer. 

- Vous m’avez très bien compris, répondit le directeur. Monsieur Malefoy ici présent m’a fait part de vos agissements et je me dois d’imposer une sanction ! 

- Mais quels agissements ?  

- Laisser rentrer dans notre hôpital des personnes en état d’ivresse en pensant que personne ne s’en rendrait compte ! Vous le savez pourtant bien que c’est contraire au règlement ! - Mais je n’ai jamais fait une chose pareille, se défendit-elle, en vain. 

- Allons, Mrs Brown, vous me l’avez avoué vous-même, intervint un Drago au bord de la jubilation. » 

Lavande pensa qu’elle avait loupé un épisode dans cette histoire. En effet, lorsqu’elle vit son supérieur arriver en titubant hier soir, elle avait voulu jouer la carte de la bonne copine en laissant passer cet écart de conduite, mais jamais elle n’aurait pensé que Malefoy lui-même irait se dénoncer. C’est au moment précis où elle songea à l’étrangeté du comportement de celui-ci, qu’elle finit par se demander si Malefoy avait bien dit toute la vérité au vieil homme. 

« Mais c’est Mr Malefoy qui est arrivé saoul ! s’écria-t-elle. » 

Drago, qui avait prévu une telle riposte de sa part, prit un air outré qu’il savait convainquant – il l’avait répété ce matin même devant la glace. Les yeux bleus perçants d’Albus Dumbledore se posèrent sur son minois effarouché et Drago les sentit se plisser derrière leurs lunettes en demi-lune, comme si l’homme était en proie à une intense réfléxion. 

«  Cette petite idiote ne sait pas quoi inventer pour se défendre, railla Drago. - C’est lui le menteur, Mr Dumbledore ! 

- Nous avons là une défense digne d’un enfant de trois ans ! 

- Et les gamineries qui vont avec, intervint le directeur d’une voix forte. Mrs Brown, je ne reviendrai pas sur ma décision. Je veux que vos affaires soient débarrassées d’ici une heure. Vous pouvez disposer. » 

La stupeur fit alors place à la rage, dans l’esprit de Lavande Brown. Serrant les mâchoires, elle s’empara de son sac à main et s’en alla, prenant soin, au passage de claquer la porte le plus fort possible. Elle avait toujours détesté ce boulot, Drago Malefoy en particulier, rumina-t-elle. 

« Quant à vous, Mr Malefoy, continua le vieil homme, je souhaiterais à l’avenir que vous ne preniez plus un malin plaisir à faire virer le personnel. 

- Que voulez-vous dire par là ? s’étonna Drago. 

- Ouvrez votre besace, Mr Malefoy, intima le directeur. 

- Je pense qu’il est temps pour moi de reprendre mon service, Mr le directeur. Après tout, il y a ici des enfants qui ne peuvent pas se passer de mes compétences, n’est-ce pas ? fit-il sur un ton emprunt de sous-entendus. » 

C’est les yeux froids que Drago Malefoy sortit du bureau à son tour, empruntant le même chemin que sa victime quelques secondes auparavant. Il n’avait pas aimé quand Lavande Brown avait laissé entendre qu’il avait un problème avec l’alcool mais il apprécia encore moins que Albus Dumbledore le fasse à son tour.

Malheureusement pour le jeune médicomage, renvoyer le directeur en personne n’était pas de son ressort. Alors qu’il s’échappait de cet hôpital de plus en plus haï, serrant contre lui sa besace, Drago Malefoy avisa au loin une voiture Moldue de marque italienne, dernière lubie du directeur. Quelques secondes plus tard, ses ongles glissaient en un crissement aigu le long de la peinture rouge. 

Dieu, que la vengeance était douce…

 Sous le bras de Drago, la besace émit un bruit de verre. Dieu, que l’oubli était bon…  

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La peau fine de l’enfant faisait ressortir ses yeux ternes. On pouvait deviner au travers les fines veines bleuies qui le maintenaient en vie. Lorsqu’il s’ennuyait fortement, ce qui arrivait de plus en plus souvent à présent, il s’amusait à en redessiner les contours du bout des doigts. Mais pour le moment, Côme recevait la visite de son papa et était bien décidé à lui voler une quelque vérité… 

« Dis papa, commença-t-il d’une petite voix. 

- Oui, Côme ? 

- C’est vrai que maman elle est partie parce que je ne suis pas comme les autres ? 

- Ne te mets jamais en tête une chose pareille, mon chéri. Et tu sais, ce sont simplement les autres qui ne sont pas comme toi… » 

Fixant les lèvres atrocement bleues de son enfant, Harry eut du mal à paraître convaincu. Un élan de remords l’envahit, mais il ne le laissa pas paraître.

Il détestait mentir à un enfant. 

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TBC… 

 
 
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